Il faut savoir
choisir son camp
À ceux qui niaient la nature extrêmement droitière - pour ne pas dire plus- de la direction du CRIF, la revue de presse à partir des événements survenus durant la marche blanche du 28 mars à Paris.
Au lendemain de la condamnation définitive de Le Pen pour ces propos négationnistes sur les fours crématoires, le CRIF a accepté que la faction nazillonne de la haine, organisation qui accepte dans ses rangs et promeut des porteurs de croix gammées, vecteur majeur de l'antisémitisme et du racisme, défile dans ses rangs et a exclus un des représentants du courant exigeant le respect des résolutions des Nations Unis et de son Conseil de sécurité.
Le Monde rapporte dans son édition du 29 mars :
Marine Le Pen, qui a été contrainte de se ranger pendant un moment derrière un car de CRS, avant de finalement retrouver la queue de la manifestation, par une rue détournée. « Malgré les intimidations, je suis encore là », a-t-elle claironné, bravache, entourée d’un service de sécurité dans lequel se trouvaient des militants de la LDJ (Ligue de défense juive), une organisation sioniste extrémiste, qui avait délogé quelques minutes plus tôt les députés LFI.
Ainsi donc compte tenu du rôle de cette factieuse LDJ comme bras séculier du CRIF dans ses manifestations, on saura que le pour la direction de celui-ci il est possible d'actualiser la formule "mieux vaut Hitler que le front populaire" et pourtant Canaille le Rouge ne porte Mélenchon dans son cœur, combat nombre de points de son programme, mais là encore il faut savoir choisir de quel côté on doit se trouver.
ceux qui se tairont ou tourneront la tête pour ne pas voir devront aussi un jour s'expliquer.