Après la "nov'langue "orwellienne
les "novs'pratiques"macroniennes
juridiques et diplomatiques
Entre le 1er janvier et le 31 décembre 2019, nous aurons vu une inspectrice du travail dénonçant une infraction patronale condamnée en justice la demande du patron voyou assisté par la hiérarchie de celle qui dénonce l'infraction et un membre du gouvernement dire qu'un patron délinquant ne sera pas poursuivi en France pour des délits commis alors qu'il dirige un grand groupe industriel historiquement français compromis dans ces délits
La même disant que la France ne livre jamais ses ressortissants à des pays tiers (le même) alors que l'histoire contemporaine montre que la France a laisse livré une de ses ressortissante à l'Espagne pour des accusations politiques mensongères (Aurore Martin).
Le même gouvernement qui refuse de s'occuper de ses ressortissants, certes ignobles criminels, pour les laisser juger dans le pays où ils ont commis leurs crimes sait organiser un glacis protecteur pour s'assurer que le toujours même patron ne sera pas extradé vers le pays où il doit rendre des comptes pour des accusations majeures de fraudes et frasques financières.
On a vu une ministre de ce gouvernement dire devant les caméra qu'elle était prête à mentir pour défendre la politique du président qu'il a mis en place sans que le conseil constitutionnel n'en baille une et laisse continuer.
La justice à deux vitesses et les privilèges de castes et classes sont-ils des réalités ou une invention de Canaille le Rouge ?