toujours
la trahison
des
clercs
Il y a 600 jours (exactement le 30 novembre 2012), Canaille le rouge mettait en ligne une p@ge de ses c@rnets qu'il avait intitulé "la nouvelle trahison des clercs".
Certes, depuis, dame Parisot a cedé la place à un "fils de" patronal, népotisme social oblige : Gattaz II. Cheréque intégrant le sérail des casseurs officiels a offert un Berger au patronat, un fiefé vassal pour mener le troupeau des résignés. Zapatayrault a vallsé et un maquignon au dents longues est portier du Medef à Matignon. La presse politico-peaple est incapable de masquer l'ydille entre la chancelière d'outre Rhin et celui qui depuis est passé de flamby honni du capital à Dalamoch que le même encense.
Aux postes clés les mêmes sont restés, la sidérurgie a été laminée le service public a déraillé et cela au prix de mort et de blessés.
Comme l'argent public abonde les coffres privés, les coffres publics sont privés d'argent.
Canaille le Rouge vous propose de profiter de l'été pour relire ce texte qui, a part les variations saisonières et quelques promotions clientellisées ou des ennuis juridiques pour certains, n'a pas pris une ride : seul le nombre de chômeurs a augmenté au même rythme que les revenus du CAC à rentes.
Le nombre d'entreprise comme le niveaux des salaires des pensions et garantie sociales comme sous le fa# d'avant cheminent vers le néant
Le texte du 30 11 2012 / canaille-le-rouge.over-blog.com/article-la-nouvelle-trahison des clercs
"Souvenez vous de cet article de juin sur ces p@ges : "et si le capital avait besoin diu PS pour imposer en douceur ce que le troll d'alors n'avait pas réussi à imposer en force" Nous y sommes."