La parole aux syndicats et leurs syndiqués.
Le plus vite et le mieux possible, remettre les pendules à l'heure.
Au CCN de mettre en place un outil pour organiser le débat où chacun doit compter pour un.
Comment sortir de bonne façon sans organiser un congrès de façon anticipée ?
Il y a matière à débattre :
Quels objectifs revendicatifs ? (cette question est décisive, les repères ne sont pas des objectifs et n'engagent pas les directions)
Qui rassembler, comment, pour atteindre ces objectifs?
Comment aider à identifier à qui et à quoi les travailleurs doivent s'opposer ?
Comment se dépétrer des liens organiques établis avec l'UE tant au plan syndical que celui de la casse sociale.
Quelles coopérations internationales pour lutter contre la crise, pour la paix et l'unité des travailleurs dans le monde.
Quelle direction de la CGT pour mener ces chantiers ? Quelle formation des dirigeants ? Quel contrôle du mandat ?
Il n'y a pas les luttes d'iun côté la reflexion de l'autre. Autant de questions qu'il va falloir mener d'un même pas que le combat contre le Capital, ses organisations patronales et son pouvoir politique.
Mieux vaut avoir du pain sur la planche que de rester dans un immobilisme sclérosant d'où il fallait impérativement s'extraire.
Que la direction confédérale sortante ait pris l'initiave de remettre son mandat en cause est à son honneur mais ne règle pas le compte. Le débat fournira les analyses et propositions permettant de le solder.
Sur cet aspect, dans l'attente du débat du CCN, Canaille le rouge en restera là. De toute façon il va évidement privilégier le débat dans son organisation.
Maintenant, que les bouches s'ouvrent.