Aides sélectives
le sens des choix
Le président de la commission européenne Jean-Claude Juncker (g) et le président ukrainien Petro Poroshenko à Kiev le 28 avril 2015
Ou comment la vrai nature de l'UE n'est pas difficile à dénoncer si on en a la volonté.
A partir des dépèches d'agence, voici l'aide de l'UE prévu à l'Ukraine :
Selon le ministre des Finances britanniques, l'Union européenne se tient prête à aider le pays à honorer ses engagements financiers. L'Ukraine aurait besoin de 35 milliards de dollars dans les deux années à venir.
Sans se ranger derrière la politique de Tsipras et uniquement pour faire prendre la mesure des choix de l'UE la façon de répondre à la grèce :
la Grèce n’a presque plus d’argent : elle survit depuis août 2014 en attendant que les créanciers lui versent cette tranche de prêts de 7,2 milliards d’euros. Les Européens et le FMI réclament en contrepartie de leur aide des réformes, notamment du marché du travail, qui vont radicalement à contre-courant des promesses électorales du gouvernement d’Alexis Tsipras.
Démonstration de la nature de cette UE que le P"c"F (mais aussi Syriza) persiste à vouloir réformer et non pas supprimer.
Dire que l'UE est un outil anti-démocratique au service du capital , est-ce faire le jeux du f-haine ? Faut-il alors pour ne pas faire ce jeu refuser de combattre le capital pour le supprimer ?
A ce rythme c'est bien la preuve que le mot communiste n'est plus qu'un calicot sur la façade pour la promos d'un appartement témoin d'une copropriété en voie de ruine.