Auxiliaire de spéculation, quand le pote de Robert Hue

a de la suite dans les idées

C'est une histoire qui commence dans le sud de Paris, département Val de Marne dirigé alors par Michel Gema lequel s'opposera au choix du garde rose de la planche à dessin dont Canaille le Rouge va tenter d'éclairer le parcours. Il s'agissait alors d'une opération de confiscation foncière qui devait associer un des membres de la promotion R Hue investit dans la diection d'un PCF (qui minusculisa alors son "c") en s'en prenant au bassin industriel  appelé Seine Amont : Visées, Ivry, Vitry (principalement) Choisy et déja Charenton, Alfortville et Maison Alfort étaient épargnées tout comme St Maur (pourtant prédisposé au Bulldozer)

L'histoire aujourd'hui continue : à défaut d'avoir gagné dans le Val de Marne, le même qui n'est ni Fidel ni Raoul mais qu'un Roland sans Ronceveaux s'en va à la conquête de la Seine St Denis - nous pourrions dire Seine avale - en s'en prenant au parc départemental Georges Valbon (copain, complice et camarade de lutte de M Germa, deux figure historiques du communisme en ïle de France, les deux ouvriers du livre, compagnonant du même pas depuis la Résistance jusqu'au refus de la cogestion avec la social-démocratie.

De Michel Germa de plein pied pour la bataille pour l'industrie  à Ivry Vitry (il était à moins de 10 m de La Canaille quand il a fallu faire comrtendre aux argousins de Joxe qu'ils ne feraient pas sans riposte énergique et populaire la loi sur le site SKF à Ivry) à Georges Valbon qui démissionera de la direction des Charbonnages de France pour ne pas être complice d'une liquidation industrielle, ce Castro narcisso- bétoneur Impérator à de la suite dans les idées dans ses cibles.

Si l'architecture est un art industriel fort de symbole, il saura laisser la trace d'un jeune débutant talentueux à la prise d'age le rabougrissant aux contours d'un dessineux para haussmanien pour servir la caste au pouvoir. 

L'architecture est art, industrie et politique qui oserait le nier ? L'architecte, c'est son droit s'engage, mais alors il doit être jugé sur ses facettes, toutes.
Castro (Roland) a un parcours comment comme un Kessler rebondir du maoïsme aux intérêts de la rente foncière ? Suivez le guide :
 

Départ début des années 60 au sein de l’Union des étudiants communistes et du Parti communiste français dont il est exclu en 1965. Il rejoint l'UJC(ml) l'année suivante, “ maoïste ” dans les années 1970, au sein du mouvement Vive le Communisme (1968), puis Vive la révolution (VLR), dont il sera cofondateur avec notamment Tiennot Grumbach (avocat, lui ne servira pas la soupe au capital). Un passage dans la galaxie lacanienne pour atterrir mitterrandiste en 1981 sera un des promoteurs de l’opération "Banlieues 89". Moment de rédemption, il claque la porte du Parti socialiste le jour de l'entrée de Bernard Tapie au gouvernement comme ministre de la ville (jalousie ?) ... pour revenir au PCF dans le taxi de R Hue, directement à sa direction sans avoir jamais cotisé, comme membre du comité national du Parti.

C'est lui qui dès la fin années 80 proposera de construire un "Mananhattan sur Seine" (sic) qui visait la casse du site (recherche et production) de Rhône poulenc, des ateliers SNCF de Vitry. Pour les seconds avec des complicités dans la place, avec 20 ans d'efforts, il y parviendra.

Le projet de Grand Paris d'avant 2000 - qui perdurera jusqu'en 2009 prévoyait des annexions territoriales rappelées ainsi : 

"Avec le projet du Grand Paris, de nombreux aménagements des différents arrondissements sont envisagés. Parmi eux, celui de l'île de Vitry-sur-Seine. L’équipe de l’architecte français Rolland Castro envisage de réaménager une partie de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne. Elle souhaite y créer un quartier à l'ambiance futuriste et responsable d’un point de vue écologique."

 

Il faut dire que le bonhomme ne se prend pas pour le logarithme d'une merde.

Voyez comment il parle de lui :

"Avec une certaine gravité Notre équipe, d’où qu’elle vienne a été unanime Le topos précède le logos …Jaurès et Sellier nous ont parlés : on n’attend pas « le grand soir » pour vivre ensemble La question posée et la réponse fournie permet de reformuler la question : figurez donc toutes les conditions du vivre ensemble mé- tropolitain dans la mondialisation et le sentiment géographique, climatique planétaire. En trente ans, j’ai structuré la pensée impressionniste du premier Grand Paris. Il y a un nouveau paradigme pour sortir de la Crise. Plus le village est planétaire virtuellement, plus le village concret est nécessaire. La solidarité" (sic)

(prologue au document dont voici le lien :

http://www.apur.org/sites/default/files/documents/02_plaquette_Castro.pdf

C'est en vertu de toiut cela que notre révolutionnaire de l'équerre, avec aplomb, propose de servir sur un plateau à "Pierre et Vacances" (les patrons de "Central Parc" un des poumons publics du nord de Paris (70ha sur 400) qui seraient matrchandisés confisqués annexés par l'entremise d'un néocolonialiste du capitalisme foncier.

La population de Seine St Denis s'y oppose, elle a bien raison.

Que le projet de castro soit OXI comme on dirait à Athènes est une pierre dans le mur du refus de la grande braderie des emprises et services publics.