«Il y a des conditions strictes à remplir. (...) Cette décision donne à la Grèce une chance de se remettre sur le droit chemin avec le soutien de ses partenaires européens», a commenté Donald Tusk.
hollande en met de suite une deuxième couche :
«Il a été demandé par les ministres des finances, puis par les chefs d'Etat, que des réformes soient votées par la Grèce d'ici le milieu de semaine, pour que les Parlements nationaux, qui vont voter dans la semaine, puissent avoir confiance. (...) Il fallait rétablir la confiance. Ce n'est pas une tutelle mais une preuve de bonne foi».
« Pendant les discussions, Draghi dit toujours qu'il est indépendant, mais qu'il a besoin d'un cadre politique pour prendre les bonnes décisions », selon un témoin des négociations.
Rappelons que Draghi (qui devrait pour cela être en taule) est celui qui a bidouiller les copte de la Gèce (Dir Europe de Goldmann Sachs) et qui est patron de la BCE.
Les service public privatisés vont servir à recapitaliser les banques grecque responsables (avec leur consoeurs de l'UE) de la situation).
C'est ce que Blummollet appelle son coté de la "bonne foi".
Tsipras peut-être (surement ) va-t-il s'engager pour prouver sa "bonne foi".
Mais le parlement grec, le peuple grec va-t-il l'accepter ?
C'est une autre paire de manche et là, la tension ne va pas baisser dans les 36h