Cet article est reposté depuis Le blog de Roger Colombier.
Pourquoi j'écris: "j'assume mes excès", par Jean Ortiz
Écrire est une manière de résister, de respirer aussi, dans une atmosphère de plus en plus irrespirable et dans laquelle, écrivait Mauriac, « il nous faut pourtant respirer ». Un non- monde en quelque sorte. Nous avons perdu (momentanément) la bataille des idées contre les « libéraux » (qui le sont fort peu), mais il nous reste la parole contre la victoire (réversible) d’une classe