Syriza confirme ses choix.
c'est le titre de l'interview donné à médiapart.
Les mot ont du sens.
Parallèle confirme la même direction alors que l'issue ne peut exister que dans la rupture.
Syriza reste donc inscrit dans la gestion selon les orientations de l'UE.
S'il fallait une démonstration, c'est le dirigeant interviewvé qui l'administre lui même regardez comment il manie bien le lanagage de l'internationale socialiste :
"nous avons préféré prendre une série de mesures, certes très difficiles pour le peuple grec. Toutefois, il faut relativiser : ces mesures de restriction budgétaire ne sont pas aussi dures que celles prises les années passées. Ainsi, nous nous sommes engagés à réduire de 6 % les pensions de retraite en 3 ans, et de 2 % les pensions de retraite complémentaire pendant le même intervalle. Ces cinq dernières années, la baisse moyenne a été de plus de 40 % !"
En français, cela donne c'est c'est déguelasse mais avec nous c'est moins pire
Ses soutiens affirmés (dont le P"c"F et son premier responsable) voient leur choix éclairés tant ils se sont engagés sur le fond et la forme au coté dfe Tsipras.
Ce n'est pas Canaille le Rouge qui les étiquette social-démocrate et réformiste. Maintenant, ils le revendiquent.
CQFD