Qu'elle monte, enfle et subvertisse tout sur son passage.
Qu'elle soit cet épisode cévenol politique, social.
Une déferlante qui enfin emporte tout de la pire réaction jusqu'aux vieux baobabs réformistes.
Un tsunami citoyen qui lamine les balcons du capital et noie les caves de l'extrême droite.
Avec ses mots proches de ceux de Canaille le Rouge, Jean Ortiz en fait aussi le constat et stigmatise le pouvoir au service de la réaction et du capital. José Fort de son coté rappelle à juste titre la filiation entre les méthode de Valls et les pratique de Jules Moch
Voici l'article je jean Ortiz dans l'Huma de ce jour puis celui de José Fort dans Arcane 17 qui est de la même veine ici partagée :
Je ne condamne pas. Je comprends et partage la colère des travailleurs d’Air France, traités de « voyous » par un politicien aux dents si longues qu’elles cirent les parquets patronaux.
L'article de José Fort :
José Fort est l'auteur de
"30 ans d'Humanité, ce que je n'ai pas eu le temps de vous dire"