on trouve
de drôle
de détritus:
Du genre déchets ultimes des provos policières (ces photos sont issues d'un reportage à Nantes (repôrterre) du 03 novembre 2015, histoire d'illustrer le discours sur la méthode.
Le casseur ci dessus a été exfiltré du cadre de la photo précédente
mais retour à paris le 29 novembre recuillit auprès de témoinsur place ces faits :
"Mais il n’y a pas que ça. L’incident qui a permis de « justifier » la répression est pour le moins très douteux. Un groupe de 20-30 personnes encagoulées qui se détachent de la manifestation et commencent à s’affronter avec la police présente en grand nombre. LA réponse de la police est immédiate. Des gaz lacrymogènes et du spray piment ; des coups de matraques et près de 300 interpellations dont 174 gardes à vue. Mais comme affirme Reporterre : « les « hommes en noir » qui ont suscités [les affrontements] ont rapidement disparu (…) sans qu’apparemment aucune interpellation n’ait lieu »."
Pour rappel, lors de la manif des sidérurgistes de 1979, le S.O. de la CGT intercepte un casseur titulaire d'une carte de police et d'un port d'arme à son nom surpris à lancer des projectiles sur les CRS.
Deux heures plus tard le brigadier chef Kaiser signale (déposition au tribunal ) que les "activistes de la CGT" jettent les grilles d'arbre de la rue La Fayette sur la police .
Il n'y a jamais eu d'arbre ni de gruille rue La Fayette et alentour.
CQFD et pour rafaichir les mémoires ou donner des repères.