supplique républicaine :
L'actualité y conduit, les références historiques imposent d'y revenir.
Quand nous parlons des pouvoirs autoritaires qui ont jalonné le processus qui de la fin de la guerre d'Espagne au Veld'hiv (et après) ont fait le deshonneur de la France, il est nécéssaire de rappeler le rôle de la vieille et sanglante culotte de peau qui fut placée au pouvoir par un éventail parlementaire rassemblant toute la droite (celle-ci commençant parmi les rangs de ceux qui ont voté la déchéance des députés communistes).
Pétain puisque c'est de lui qu'il s'agit se voit de nouveau dans la période affublé des titres et autres collifichets que la justice française lui a supprimé simultanément à sa condamnation à mort (commuée en prison à vie par De Gaulle ) lors de son procès.
Seule la peine de mort à été commuée,
le reste demeure dans le cadre du jeugement du procès.
Donc, Pétain n'est plus maréchal y compris pour ce qui relève de l'avant juillet 40. Il est, il n'est, il n'est plus et ne rtera que "Pétain".
Ce serait bien de le rappeler le plus souvent possible, ne serait-ce que pour honorer ses victimes.
Et dans la période s'expliquer la-dessus permet de faire de l'instruction civique non pontifiante et citoyenne.