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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Déchéance, comme en 40. A l'assemblée, c'est la dèche,

Publié le 10 Février 2016 par Canaille Lerouge

le parlement en pleine déchéance.

Lavalls a dit "c'est la guerre".

La désertion en temps de guerre

c'est puni comment

Bientôt la fusion du ministère de la justice avec celui de l'intérieur ?

Bientôt la fusion du ministère de la justice avec celui de l'intérieur ?

♫Ils sont absent ne sont plus là

même ceux des beaux quartiers de Paris ♫

 

Non, stop. On artête.

Pas l'esprit à chanter sur ce sujet.

Ainsi donc, les pourfendeurs de terroristes depuis la buvette de l'Assemblée, les stratèges des plateaux télés ou des studios, les officiers de réserve des troisième sous sol de l'état major, comme leurs alter ego de juin 40, dès qu'il faut assumer leurs responsabilités, prennent leurs jambes à leur cou. (voir la liste des "pas là" en bas de page)

Totalité du f-haine, majorité de la droite et du PS (peu brillant pour la gôooche de la gôoche, des élus du P"c"f ont  dû "oublié" Peri, Sempeix et Catelas), La solférinocratie attente aux libertés (camabadelis absent de l'hémicycle !!), le pouvoir se donne donc les moyens de vichyser la République.

Déchéance de nationalité, 23 h 20 par 162 voix pour, 148 contre et 22 abstentions. Adopté.

577 députés, 162 salauds, 148 républicains, 22 ludions incertains et 245 déserteurs.voila le paysage politique de la représentation nationale sur un vote qui ni plus ni moins raye d'un trait de plume un des principe fondateur de la République inscrit depuis 1792 pour remettre la france sur les rail luisant qui conduisent vers des centres de rétentions pour expluser on ne sait où ou concentrer les indésirable.

Si la liste de ceux qui ont choisi le déshonneur en accompagnnat Valls qui devient définivement Lavalls, doit être connu des électeurs, si 148 ont eu le courage de dire non et sur ce point ^^etre félicité, que dire des 245 déserteurs ?

Quelles crédibilité leur propos à partir de maintenant  ? Rappelez vous les rodomontades : "la france est en guerre" contre qui quand cela sert à emprisonner les syndicaliste quand on commerce avair les pourvouyeyrs de barbares fascistes ? '="Serrons les coudes" ils les serrent le long dui corps pour courrir plus vite loin des lieux où ils sont payé pour assurer leur responsabilité.

La première charrette de déchéance vient de se produire sous nos yeux, suee le même banc assis au côté du f-haine ils sont 245 à s'être débinés.

Il ya des moments qui sont des rendez-vous avec l'Histoire ceux qui les ratent sont inexcusables.

Un crime contre la démocratie est en route. la nondénociation de crime est aussi un crime, quand il est commis par une personne munis d'unmandat ^public électifs la peine est double.

En plus des délinquants quasi "banaux" pour fraudes fiscales, blanchiements et autres corruptions passives ou actives, Ils sont maintenant 245 de plus (ou parfois les mêmes ) à être passibles de la Haute Cour de Justice de la République...pour désertion en temps de guerre.

Les agences de presse nous précisent : 

 

Seuls dix députés Les Républicains étaient en séance lors du vote. Les élus Front national avaient carrément déserté l’hémicycle. Au total, après sept semaines de polémique par médias interposés, d’interrogations sur les valeurs de la France et, dans une moindre mesure, la sécurité du pays, 441 députés ont donc choisi de ne pas choisir. Huit députés PS se sont opposés à l’article 1, venus des rangs des frondeurs, dont l’ancien ministre Benoît Hamon. Le groupe écologiste a voté majoritairement contre, à l’exception de Denis Baupin, Barbara Pompili et François de Rugy.

Les députés ont adopté plusieurs précisions, comme la limitation de l’état d’urgence à quatre mois renouvelable contre trois actuellement, proposée le président du groupe UDI, Jean-Christophe Lagarde. Mais l’idée d’instaurer un avis du Conseil constitutionnel avant toute prolongation de l’état d’urgence que souhaitait une brochette de socialistes a été rejetée. Pareil pour plusieurs tentatives, notamment de l’écologiste Cécile Duflot, posant des «bornes et des limites» à l’état d’urgence. La proposition de supprimer l’article 16 de la Constitution, instaurant l’état de siège, a aussi fait long feu: 95 voix contre.

L'article 1 de la révision constitutionnelle sur l'état d'urgence a été adopté par à peine un quart des députés lundi soir. voici la liste des "pas là" lors de ce vote :

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