A l'entrée d'une semaine
de toutes
les colères sociales
de toutes
les mobilisations,
que fait ce machin ?
On ne peut même pas dire qu'elle a disparu des écrans, sauf pour justifier la purge des droits sociaux en Grèce et au Portugal, elle ne les traverse que très rarement.
Au moins deux confédérations françaises qui y sont adhérentes dont une de ses fondatrices et l'autre la plus importante en nombre et influence sont engagées parmis un nombre important d'autres organisations et syndicats représentatifs de l'avenir et du corps social du pays. Fortes de l'appuis des 3/4 de la population elles se battent contre une loi qui va sortir de la france du droit international du travail.
La CES est aux abonnées absents.
Cette absence pèse-telle sur la mobilisations ? Non.
Qui son silence aide-t-il ? Les partisans de la régression et de la répression utilisée pour faire passer en force les reculs exigés par le patronat.
De même que le P.S. est un parti de droite, pour qui aurait encoe des doutes, la CES se révèle être un outil au service du capital.
Ce n'est pas Canaille le Rouge qui le dit, ce sont les positions et silences de la CES qui le démontrent.
Même si le 51e congrès ne s'est pas donné les moyens de débattre de cette question, il faudra bien que la CGT, et son CCN est légitime pour cela, pose publiquement l'utilité de l'affiliation à ce croupion de la Commission Européenne et de ses commissaires.
On verra cela plus tard, le mouvement social et les travailleurs ont d'autres urgences, mais il fallait à ce moment que la question soit pointée et mise sur la table.