Parmi les Maires et autres représentants qui se sont exprimés avec force pour soutenir les arrêtés municipaux illégaux concernant les tenues vestimentaire sur les plages, combien de députés ?
Où étaient-ils le 1er juillet ?
La question mérite d'être posée :
Question subsidiaire : que dire d'un premier ministre qui conteste une décision du Conseil d'Etat (qu'il stipiule inviolable quand il s'agit de l'ANI ou de la "loi travail").
Que dire d'un candidat à la présidentielle par ailleur en délicatesse avec la loi, avocat de surcroit, appelant à ne pas respecter les décisions du dit Conseil d'Etat.