Alors regardons-y a deux fois.
"On" nous dit souvent (il faudra revenir sur qui est ce "on") que ce qui se passe est la configuration aujourd'hui de ce que nous vivrons demain et il semble que l'aujourd'hui s'il est calé sur 23h58, le demain est à 0h01.
L’élection présidentielle américaine , ses primaires, ses débats et autres jeu de ce cirque ont tout lieu d'être plus qu'inquiétant à plus d'un titre.
Une question toute bête taraude Canaille le Rouge. Au nom du tout sauf Trump et pas question ici du moindre accommodement avec ce résidu de KKK, et si l'opération autour de ce fou furieux, un Sarkozy mâtinée de Morano ultra lepenisée made in USA, en plus borné (c'est dire) n'était pas là pour légitimer l'opération Clinton ?
Une redoutable pièce maîtresse politique d'un impérialisme qui cherche l'affrontement militaire majeur avec une Russie qui rappelons-le n'a plus rien à voir avec l'ex-URSS, cela pour au prix d'un coup de poker aussi sanglant que porteur de la fin de l'humanité, grâce au rejet du crétin "républicain", sélectionné pour cela, mettrait le pied à l'étrier à une miss Magie du plutonium, décidé à en découdre pour stopper l'affaiblissement tendanciel du leadership étasunien.
En quelques sortes, avec la technologie de 2016, refaire la purge de 1914.
Canaille le Rouge sait que ce n'est pas des plus réjouissant mais c'est son sentiment. Pour interdire cette voie, plus que jamais lm'intervention des peuples, pas alignés derrières des chefs aussi charismatiques que stériles mais construisant un élan de paix et de coopération. Pour cela il faut vite se reconstruire les outils politique indispensable, nous n'en disposons plus ni en vitrine ni en rayon ni même aucun sachet de graine dans les réserves. Non il faut faire du neuf.