Boulevard du crif ou la route sanglante de leur croisade - Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Et la hauteur de la pensée

pour traquer

les serial killers

de l'intelligence et de l'humanité.

Défions- nous de tous les kalifats

Boulevard du crif ou la route sanglante de leur croisade

Spinoza contre la connerie de masse.

Rien de tel que d'en appeler à l'intelligence (sans forcément partager tout de ce que dit celui qui en est porteur).

Garantie de ne pas se voir étiqueté "antisémite primaire" ce qui en soit serait déjà un tour de force, dédiées à tous les participants à ce raout ultra réac du diner du CRIF, quelques réflexions de Spinoza pour encadrer le propos :

Traité théologico-politique de Spinoza :

1° Il est très fâcheux, tant pour la religion

que pour la communauté politique,

d'accorder aux administrateurs spécialisés

du domaine sacré

un droit exécutif ou gouvernemental

quelconque (…)

Donc, si nous faisons le point.

Le président de la République, gardien de la constitution a été diner avec des gens qui au nom d'un dogme assassin appellent à ne pas respecter les décisions de l'ONU alors que constitutionnellement la France appelle à les respecter et s'est engagée à les faire respecter.

Les candidats à la présidentielle et ministres de la République qui disent (à juste titre mais ne font que dire) vouloir chasser le terrorisme, participent à des agapes avec des gens qui encouragent des citoyens français à violer les lois de la république en allant combattre sous un tiers uniforme pratique terroriste qui pour d'autre est considérée comme de la haute trahison.

Dans les mêmes murs et au même moment un ex ministre, candidat, peut considérer que le colonialisme est condamnable partout sauf dans le pays de l'ambassade politico-théocratique qui l'accueille où là, ce serait tolérable.

Un représentant d'une confession peut admonester publiquement en présence des gardiens de la loi de 1905 la partie de l'électorat et de la population qui historiquement porte l'héritage de la liberté de conscience, ceux qui se sont battus et se sont fait massacrer pour les libertés dont celles des coreligionnaires de l'orateur lequel les injurie en les jetant dans le camp des bourreaux, met assassin et victimes dans le même sac sans que candidats, ministres, président ne quittent illico la salle voir tentent d'émettre une protestation.

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2° Il est très fâcheux de faire dépendre

le droit divin de doctrines purement spéculatives

et d’établir des lois concernant les opinions. (…)

Un règne politique, par suite, devra s’appuyer

sur la pire violence si les opinions,

qui relèvent du droit individuel inaliénable,

peuvent être traitées à la manière de crimes (...)

3° Il est très nécessaire,

dans l’intérêt

tant de la communauté publique que de la religion,

de reconnaître aux détenteurs de la puissance souveraine

le droit de distinguer la valeur des actions.

Car ce droit n’a pu être jadis conféré,

même aux prophètes divins,

sans grand préjudice

pour la communauté publique et la religion (...)

(Citation dans le « Traité des autorités théologique et politique » chapitre XIII - Thème : Chapitre XVIII De l’organisation de la république des Hébreux et de son histoire sont tirés quelques enseignements politiques)

Ce Spinoza devait être un de ces infâmes rouges antisémites. ne serait-ce pas lui qui il y a 2017 ans aurait planqué les manuscrits du Capital dans des jarres enterrées sur les rives de la Mer Morte ?

Il est vrai qu'il y a quatre siècles et demi il fut "excommunié" par les mêmes qui prêchent la haine au dîner du CRIF.

Une haine qu'ils vouent à Marx, et à ceux qui malgré les éteignoirs tentent de porter à bout de bras les lumières.

Sur la cheminée où l'inquisition a brûlé tant de livres, se dresse les piliers incendiaires de l'Etat Islamique et celui de l'Etat judaïque. C'est ce tryptique qui enflamme et entretient le feu de l'intolérance.