qu'en dit le sieur Mandon
secrétaire d'État
chargé de l'Enseignement supérieur
et de la Recherche
Quand les mandarins cotisent au MEDEF
le Conseil d’Administration de l’université de Bourgogne a validé le versement de 10.000€ pour le Medef de Côte-d’Or. Une décision qui ne fait pas l’unanimité auprès des professeurs et étudiants du campus dijonnais.
Lundi 27 mars 2017, le Conseil d’Administration de l’université de Bourgogne a validé le versement de 10.000€ pour le Medef de Côte-d’Or. Une décision qui ne fait pas l’unanimité auprès des professeurs et étudiants du campus dijonnais.
Cette somme d’argent contraste pourtant avec les nombreuses restrictions budgétaires que l’université a dû faire au cours de ces derniers mois, selon le SNESUP, syndicat des enseignants du campus de Dijon et l'UNEF Bourgogne. Ils déplorent notamment les économies d’heures que doivent faire les enseignants et la fermeture de certaines formations, alors que le Medef obtient rapidement et facilement sa demande de subvention.
De l’autre côté, la direction de l’université de Bourgogne ne parle pas de « payer » le Medef, mais d’« investir ». Une convention de partenariat (existente depuis 3 ans) est signée lors du vote de cette subvention. Elle permet à l’université de faire sa promotion auprès des entreprises de la région, autant pour leur présenter les offres de formation et accueillir les étudiants en stage, que pour leur rappeler qu’elles peuvent verser une taxe d’apprentissage,proposant aux salariés des entreprises de se former à l'université (contre rémunération).
Une taxe qui représenterait aujourd’hui plus d’un million d’euros.Un investissement qui serait gagnant pour les deux parties, selon la direction.
Le président de "l'UB", protozoairophile, est spécialiste ce titre de la vie unicellulaire de ces unités vivantes dont la spécialités est de se nourrir par phagocythose.
Bien vu. Comme le Medef qui ne vit que par sa capacité à phagocyther les finances publiques.
Ces unités patronales organiques implantées bien au chaud dans des organismes vivant pouvant s'associer en colonies. on n'appelle cela les chambres patronales ou de commerce et d'industries.
Elles sont socialement connues pour être vecteurs de graves troubles de la santé.
Les rhizoflagellés regroupent les amibes intestinales et libres, les flagellés intestinaux et génitaux, les trypanosomes (responsables des trypanosomoses) et les leishmanies (responsables des leishmanioses).
Les ciliés (protozoaires à cils vibratiles) sont responsables de la balantidiose, maladie parasitaire des intestins.
Ce que la canaille ne savait pas c'était leur capacité à parasiter l'espace des laboratoires de recherche et d'en capter les moyens de subsistance.
Quand le Président sort de son labo pour aller à son bureau, il doit se désinfecter à l'essence de caque à rentes.