Si tu veux la guerre.
finance la guerre.
L'article du Monde est un parfait raccourcis permettant de montrer la réalité de l'impérialisme :
Chez le gendarme bourreau du moyen orient, puis à l'OTAN passage par le Vatican pour le fun .et plus si possible, ce coup ci pas d'Ankara et Erdogan mais Tel Aviv et Netanyahu et enfin le G7 au coeur du Mafialand.
C'est le déploiement de l'empire du mal drapé dans les habits de la vertu un tantinet rancie d'une politique belliqueuse.
A force de vendre des machines à tuer il faudra bien qu'elle servent ne serait-ce que pour renouveler et actualiser les stocks et les visées expansionniste impérialiste ont besoin de grès ou de force de s'ouvrir les marchés.
Trump c'est la guerre comme Busch ou Nixon l'ont été.
Si les peuples ne réagissent pas on ne sait vers où ils seront entraînés. A coup sûr vers des lendemain qui déchantent.
Quand on aime les armes, on ne compte pas pour en vendre ou en acheter, l'article du Monde :
"Les Etats-Unis et l'Arabie saoudite ont signé samedi des accords d'une valeur de plus de 380 milliards de dollars, dont 110 milliards pour des ventes d'armements, au premier jour de la visite du président Donald Trump à Ryad, a annoncé le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir. Un responsable de la Maison Blanche a cité plus tôt des contrats de ventes d'armements d'une valeur de 110 milliards de dollars à l'Arabie saoudite.
"Les deux pays ont signé une série d'accords (...). La valeur des investissements dépasse les 380 milliards de dollars", a déclaré Adel al-Jubeir lors d'une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d'Etat Rex Tillerson.
L'agence officielle saoudienne SPA a fait état de 34 accords dans des domaines aussi divers que la défense, le pétrole et le transport aérien, sans cependant fournir de montant total. Dans le domaine de l'énergie par exemple, Aramco, le géant pétrolier saoudien, a indiqué dans un communiqué avoir passé "des accords de 50 milliards de dollars" avec de grandes compagnies américaines.
"C'était une journée formidable", a lancé le président républicain. "Des centaines de milliards de dollars d'investissements aux Etats-Unis et des emplois, des emplois, des emplois".
Un fonds d'investissement de 40 milliards de dollars
Le groupe américain de capital-investissement Blackstone et le fonds souverain saoudien PIF ont annoncé samedi la création d'un véhicule d'investissement de 40 milliards de dollars (35 milliards d'euros) pour investir dans les projets d'infrastructures, principalement aux Etats-Unis. Blackstone et le Public Investment Fund (PIF) ont signé un accord indicatif qui devra se concrétiser après de nouvelles négociations.
Sur les 40 milliards de dollars de dotation, 20 milliards viendront du PIF et le reste sera souscrit par des investisseurs. Via ce financement qui mêle dette et fonds propres, Blackstone dit envisager d'investir dans des projets d'infrastructures pour un total de plus de 100 milliards de dollars.
Ce nouveau fond "reflète notre avis positif concernant les projets ambitieux d'infrastructures qui vont être entrepris aux Etats-Unis comme le président Trump l'a annoncé", a déclaré le secrétaire général du PIF, Yasser al Roumayyane
Le fonds piloté par Softbank et PIF ont déjà levé 93 milliards de dollars
Par ailleurs, SoftBank Vision, le fonds mondial de capital-investissement, piloté par le japonais Softbank et le fonds souverain saoudien, a annoncé samedi avoir levé plus de 93 milliards de dollars (83 milliards d'euros) pour investir dans la robotique et l'intelligence artificielle. Le président de Softbank, le milliardaire japonais Masayoshi Son, avait révélé ce projet en octobre dernier et a depuis obtenu des promesses d'investissement de grands investisseurs internationaux. Ce fonds, outre Softbank et PIF, réunissent Mubadala Investment d'Abu Dhabi, qui a promis 15 milliards de dollars, les groupes américains Apple et Qualcomm , taïwanais Foxconn Technology et japonais Sharp.
Le fonds fait part de son intention de prendre des participations, minoritaires ou majoritaires dans des entreprises privées, cotées ou non en Bourse, quelles soient dans des activités nouvelles ou dans des activités plus établies. Le fonds espère à terme pouvoir réunir environ 100 milliards de dollars de promesses en capital et avoir achevé sa levée de fonds en six mois"