Meurtre sur ordonnance
et
petits arrangements entre amis
Réforme du code du travail : « Les ordonnances ne sont pas une procédure antidémocratique »
M. Noblecourt (commentateur des exécutions pour Le Monde).
Sauf que si d'une part c'est une atteinte à la démocratie, jumelée de plus avec l'information qui suit, que reste-t-il pour exprimer un droit constitutionnel à s'opposer à des choix politique ?
L’Elysée a fait savoir, mercredi 24 mai, que le gouvernement soumettrait en juillet au Parlement un projet de loi de prorogation de l’état d’urgence jusqu’au 1er novembre. Cela sera la sixième prorogation de l’état d’urgence depuis sa proclamation à la suite des attentats de Paris le 13 novembre 2015. Ce régime d’exception dont le Conseil d’Etat répète depuis février 2016 qu’« il ne saurait être prolongé indéfiniment » sans menacer les libertés, donne au ministère de l’intérieur des pouvoirs dérogatoires en particulier en matière d’assignation à résidence, de perquisition administrative, d’interdiction de manifestation, etc.
C'est justement le délais dont Touthenmakron et ses vizirs ont besoin pour tordre le cou au code du travail sans avoir d'opposition.
Quand Canaille le Rouge vous dit que le Théofascisme comme tout fascisme, outre ses atrocités, sert les intérets du Capital