La décision de la direction
de France Télévision
persiste à faire des remous
"Remerciement" de Pujadas :
Voici le communiqué du SNJ .
Canaille le rouge en partage la plus grande partie.
Reste une interrogation : comment considérer comme une prérogative normale de direction ce qui est en vérité le fait du prince ou le moyen du sénéchal de faire allégeance aux barons du régime.
Pour rappelle ce que disait Canaille le Rouge lors de l'annonce de la décision de la direction de France 2
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Renouvellement de la meute - Canaille le Rouge, le c@rnet, ses p@ges.
Aboiements chez les chiens de garde Ce n'est parce que Canaille le Rouge ne les supporte pas que la pratique de les larguer sur une aire d'autoroute politico idéologique soit justifiable...d'autant
http://canaille-le-rouge.over-blog.com/2017/05/renouvellement-de-la-meute.html
Confirmant une opération quadrillage des média voici la réaction des rédaction après la décision pour le moins "trumpiste" de l'Elysée de choisir ses accrédités pour accompagner Toutenmakron dans ses déplacement à l'étranger.
Il est pour le moins savoureux de voir que M Field exige à juste titre pour sa responsabilité ce qu'il refuse aux journaliste qui font le boulot.
L'absence de l'Humanité dans cette liste est-elle du à un ostracisme des rédactions, un oubli ou à d'autres considérations - et si oui, lesquelles ?
LETTRE OUVERTE. Vous effectuez demain votre premier déplacement de chef d’Etat au Mali. Avant votre décollage, nous souhaitons vous transmettre nos inquiétudes quant à l’organisation de la communication présidentielle qui est en train de se mettre en place depuis votre entrée en fonction.
Pour des raisons de place ou de sécurité, nous comprenons la nécessité de constituer des pools de journalistes – parfois, et à condition que toutes les rédactions y aient accès selon un roulement établi. En revanche, il n’appartient en aucun cas à l’Elysée de choisir ceux d’entre nous qui ont le droit ou non de couvrir un déplacement, quel qu’en soit le thème (défense, diplomatie, économie, éducation, social…). Ce n’est pas au président de la République, ou à ses services, de décider du fonctionnement interne des rédactions, du choix de leurs traitements et de leurs regards. Ce choix relève des directions des rédactions et des journalistes qui la composent, qu’ils soient permanents ou pigistes, JRI ou reporters, photographes ou dessinateurs.
Aucun de vos prédécesseurs ne s’est prêté à ce genre de système, au nom du respect de la liberté de la presse. Alors que la défiance pèse de plus en plus sur l’information, choisir celui ou celle qui rendra compte de vos déplacements ajoute à la confusion entre communication et journalisme, et nuit à la démocratie.
Signataires :
Les sociétés des journalistes de l’AFP, BFM TV, Europe 1, Le Figaro, France Info, France Inter, Libération, les JT de M6, Mediapart, Le Monde, Le Parisien, Le Point, RFI, RMC, Télérama, TF1
Jean-Philippe Baille, directeur de la rédaction de RTL
Christophe Deloire, secrétaire général de Reporters sans frontières
Guillaume Dubois, directeur de L’Express
Johan Hufnagel, directeur des éditions de Libération
Laurent Joffrin, directeur de la publication de Libération
Luc Bronner, directeur de la rédaction du Monde
Frédéric Barreyre, directeur de la rédaction de France Culture
Nassira El Moaddem, directrice du Bondy Blog
Michel Field, directeur de l’information de France Télévisions
Jean-Marc Four, directeur de la rédaction de France Inter
Eric Kervellec, directeur de la rédaction de France Info
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/05/18/monsieur-le-president-il-n-appartient-pas-a-l-elysee-de-choisir-les-journalistes_5130040_3232.html#ZDS2ptXcGvdsxfWe.99