Les lumières de l'académie
peuvent-elles dissiper
les zones d'ombre ?
La presse (pas toute, mais le plus grand nombre de ses titres) use de drôles d’angles d’attaque lexicaux.
V’là t’y pas qu’une ressortissante française au nom si bien d’cheux nous que la résonance alsacienne de la domiciliée dans le Morbihan en fait non pas une présumée ou avérée théofasciste militante française mais...une djihadiste Bretonne.
A-t-elle monté un camp d’entraînement dans le Douar Nenez ? Avait-elle une couverture légale chez Ben Odet ?
Une curieuse façon de sanctuariser le péril en l'adossant à un qualificatif dédouanant la globalité de l'état.
Subtil façon de masquer les défaillance de notre système policier plus réactif à traquer les réfugiés première victime du théofascisme que de mettre hors d’état de nuire les filières de recrutement de ce même théofascisme sur notre territoire.
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