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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Les secrets ferroviaires du pouvoir, comme le secret du roi Midas*

Publié le 13 Mai 2018 par Canaille Lerouge in politique, Cheminots et luttes - l'avis duraille, Nouvelles du front, Mensonge d'état, Colère

 

Pepy est un menteur !

Pepy est un menteur !

Pepy est un menteur !

 

Borne aussi répondit l'écho 

Borne aussi répondit l'écho 

Borne aussi répondit l'écho 

 

Les secrets ferroviaires du pouvoir, comme le secret du roi Midas*

Dans le document ci après, telle les oreilles d’âne du roi Midas qui devait rester secrètes, la privatisation de la SNCF revient portée par le vent.

A noter que si des responsables syndicaux (point de vue sigle, "non géo-localisés" par le Parisien) tombent vendredi de l'armoire , c'est qu'ils y étaient montés... ou font croire qu'ils ont été surpris sur le toit d'icelle alors qu'ils auraient pu jurer ne pas du y être vus.

Les secrets ferroviaires du pouvoir, comme le secret du roi Midas*
                                                            toujours d'actualité

toujours d'actualité

Médiapart s'emparant a son tour du sujet précise :

Selon le document obtenu par le Parisien, la direction de la SNCF soutient aussi « un amendement pour filialiser l’activité des trains régionaux ».

Lors de cette réunion de travail, les représentants du ministère des transports ont aussi précisé les amendements en préparation. « La gestion des gares serait confiée à une filiale détenue par SNCF Réseau ; la date d’ouverture à la concurrence en Ile-de-France, prévue en 2033, serait avancée d’un an ; enfin, pour les petites lignes un amendement prévoit un rapport gouvernemental sur l’état du réseau et les lignes les moins circulées », expose Le Parisien.

Face à Pepy qui refuse la légitimité de la consultation des personnels mais prétend sans rire que 80 % de ceux-ci sont avec lui, la mobilisation et le vote pour les cheminot.e.s en activité est plus qu'une nécessité mais un impératif démocratique.

Même si Canaille le Rouge, retraité, ne pourra pas participer à cette consultation, il la soutient à fond.

Cette démarche outre l'affirmation par la profession du refus des choix macroniens doit servir aussi à démasquer la duplicité de l'état-major de la direction et de l'amiral de la flotte à son bord, lequel se comporte de façon délibéré comme le capitaine du Titanic face aux icebergs de la déréglementation européenne.

Vise-t-il et cherche-t-il à donner des gages pour une place de commissaire européen à la liquidation et la déréglementation ? 

 

Les secrets ferroviaires du pouvoir, comme le secret du roi Midas*

*Lors du concours de musique entre Marsyas et Apollon, Midas eut la malencontreuse idée de soutenir Marsyas. Apollon, fou de rage, lui affligea une punition terrible et cocasse : deux oreilles d'âne lui poussèrent et le roi fut obligé de masquer son crâne par un bonnet extravagant, une sorte de capuche qu'on appela "bonnet phrygien" (Midas était roi de Phrygie).

    Midas, accablé de honte, tenta de masquer à tous sa disgrâce. Il interdit à son barbier, le seul à connaître son infirmité, de divulguer ce secret sous peine de mort. Mais aucun secret, surtout le plus désopilant, n'est facile à garder pour soi. Ainsi un jour, souffrant terriblement de devoir conserver le silence, et pour ne pas être puni pour s'être livré à quelqu'un, le barbier chercha un moyen de partager son secret sans avoir à trahir son roi.

    Ce fut alors qu'une lumineuse idée lui vint : il se rendit près d'un fleuve, creusa un trou dans la berge et dit en chuchotant son secret à la terre. L'homme rentra chez lui plus serein, mais en bruissant, des roseaux qui poussaient à l'endroit où il s'était confié firent bientôt entendre des sons étranges : "...Le roi Midas a des oreilles d'âne... Le roi Midas...". Porté comme un écho par les vents de tous le royaume, le message des roseaux fit du roi la risée du peuple tout entier

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