Plus d'un quart de sècle plus tard,
ne pas avoir
la mémoire courte !
La planète (et surtout le capital armé de son impérialisme) vient de perdre une des ses pires Bush-à-feu de la seconde moitié du 20e siècle.
Celui qui a allumé des barils de poudre entassés par ses prédécesseurs au moyen orient, qui a déstabilisé toutes les frontières millénaires historiques pour parmi d'autre saloperies à laisser ses auxiliaires mercenaires mettre la main sur les pétroles d'Irak, enflammant toute la région, oui Bush à feu devenu feu Bush va maintenant dans les jours qui viennent jouer les Bush trous.
Canaille le Rouge ne pleurera pas, loin s'en faut.
Et si sa mort pouvait filer un infarctus à Trump, il se serait au moins rendu utile une fois avant de clamser.