UE. Continuer ?
L'exploser ?
S'en barrer ?
En France
c'est 2005
qui est le juge de paix.
Espace de concurrence libre et non faussée permettant aux requins de se repaîtres dans la mannes des investissements réalisés par les finances publiques, la marmite magique doit échapper au contrôle de ceux qui la remplissent.
La preuve par Ryanair, voici ce que la presse nous rapporte ce 25 avril :
Le patron de l'irlandaise Ryanair voit rouge. Il entend mener la vie dure aux compagnies aériennes nationales qui auront bénéficié d'aides d'État dans la crise économique engendrée par la pandémie de coronavirus. Il envisage même des poursuites en justice contre ces compagnies, rapporte Bloomberg, le 24 avril. Au début du mois, Michael O'Leary a ainsi fait parvenir un courrier à la commissaire européenne en charge de la concurrence, Margrethe Vestager, dont le site économique a pu obtenir une copie. Il y affirme s'opposer au "don arbitraire de milliards d'euros des pays de l'Union européenne à leurs compagnies nationales inefficaces". Par compagnies nationales, il identifie les compagnies aériennes normalement affiliées à un pays : Air France, Brussel Airlines, Lufthansa, etc.
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Lui ne dit pas non à des aides venant du secteur public, mais uniquement si elles sont versées en prenant en compte le volume de trafic aérien que représente chaque compagnie aérienne dans un pays donné. Si ce paramètre n'est pas pris en compte dans le versement des aides accordées, alors Ryanair pourrait lancer des actions en justice contre les compagnies bénéficiaires d'aides d'État, relaie Bloomberg. Le dirigeant de la compagnie aérienne low cost met en garde : s'il l'emporte, l'Union européenne se retrouvera dans une position assez délicate.
Ryanair réclame un partage équitable
Le patron de Ryanair estime que les prêts garantis par les États, les aides qu'ils ont décidé d'accorder, et "autres avantages" devraient en réalité être répartis entre les différentes compagnies aériennes de façon équitable. Plusieurs compagnies "nationales", comme Air France, vont bien recevoir une aide de la part du gouvernement afin d'éviter le plongeon fatal en cette période de crise qui touche très durement le secteur du transport aérien. Selon les annonces du ministre de l'Économie vendredi, Air France va recevoir au total sept milliards d'euros de prêts bancaires et de l'État français.
Nous apprenons ce soir au détour d'une dépêche que le gouvernement français conditionne cette aide à une augmentation de la productivité. Ce qui n'étonnera certainement pas les salariés d'Air France tout comme elle était attendu par Canaille le Rouge.
Donc parlons clair : alors que l'UE est mis devant son absence totale de compétence et réactivité face à la pandémie, si elle acceptait d'enregistrer le récrimination du cap'tain de l'Irlandais Volant, flibustier des HUB et aéroports, elle se déclarerait compétente dans un domaines où les causes d'une situations sont directement liées à son incompétence.
Un peu comme un tribunal vegan pour arbitrer un différent entre éleveurs de volaille aux grains et gaveurs de volailles aux farines industrielles, des végétariens assurant la défense des parties en présence.
Cela au moment où les peuples font l'expérience de la nocivité létale de cette mixture financiaro-industrielle nommée UE.
C'est un des enseignements majeurs de cette crise: cette structure n'est pas la coopérations des peuples mais celle de la cohorte de ceux qui se gavent de leur travail. Ceux qui veulent la renforcer, la conserver, l'amender, la reloocker, tous ceux qui ont voté et participé à la mise en oeuvre de ses textes a-sociaux, a-démocratique , ceux qui calés sur la haine poussent les feux cuisant le brouet raciste du capital, tous ceux là , concernant la France doivent être sortis du champs politique. Elle affirmera ainsi sa souveraineté populaire.
C'est à ce moment un des enseignements majeurs de cette crise.