Le Monarque confirme
La constitution disant que le premier ministre nommé par le président de la république entame son mandat par la présentation de ses orientations devant l'Assemblée Nationale, Touthenmacronaparte décide après une gestion par message subliminaux via les réseaux sociaux de faire à la place de ce qui s'affiche comme être son fusible la dite déclaration constitutionnelle.
Et les godillots en marche au pas cadencé d'appalaudir.
Et la cohorte des aspirants à un maroquin de se presser pour participer à la curée du droit social et à la garniture des niches financières, aux cadeaux de masse au capital et essorage des budgets sociaux, culturel, éducatifs.
Le jour d'après ressemble à certains jours d'avant mais pas n'importe quels "avants" . Cela sent la Restauration raccornie, le pouvoir à la mac mahon , la chambre bleu Horizon ou l'automne 40 le tout mâtinée d'un badinguisme de circonstance.
Le choix de ce M. Casse-textes qui est à la fonction publique ce qu'une enclume est à un catamaran affiche le sinistre symboles de la mise au pli total aux exigences du capital des fonctions publiques.
Pour l'ensemble des force de droite qui ont concourru à faire venir et installer Macron, c'est maintenant le stade indispensable pour asservir la force de travail et de la naissance à la mort la modeler en permanence aux exigences patronales.
En cela, la pratique du petit marquis du Touquet Paris plage est une déclaration de guerre politique et sociale. Il ne faut pas être grand clerc pour dire que les dénominations des postes et leur titulaires le confirmeront.
Il peut surfer sur un mouvement social confiné par l'alibi des mesures sanitaire et une abstention dans les urnes qui limite sa formidable déculottée ramassée aux élections.
Ceux qui auront participé à ce désintérêt de la politique pour en faire un spectacle de combinanisons, de vaudevilles, voire de comedia del arte joués dans des théatres vides vont aussi devoir assumer leur part décisive de responsabilités dans ce cirque.
Cela devient lancinant à force de le répéter, il faut c'est urgent renouveler le paysage politique à partir de critères d'association du plus grand nombre aux choix et décisions pour en faire les orientations et l'action. C'est cela le renouveau de la politique pas la mascarade des sigles et des alliances dans ces théatres désertés de leurs spectateurs. C'est ce qui permet au capital de maitriser les trois coups et d'user du rideaux.