Imaginez qu'un samedi soir
dans une boite de nuit....
Les videurs d'une discothèque décident de "se faire un nègre", le tabasse et balance une lacrymo dans sa bagnole.
La chose arrive dans la presse via des témoignages et même vidéos.
Les videurs sont interceptés et le juge les mets en examen pour coups et blessures en réunion, injures à caractères racistes, deux étant mis en détentions provisoire.
Imaginez que le patron de la boite de nuit ostensiblement fasse savoir qu'il maintient les salaires et va payer les frais d'avocat.
Dans le quart d'heure qui suit le patron de la boite en question se retrouve manu militari chez les juges pour complicité, les juges exigeant des explications.
Maintenant imaginez que les videurs soient fonctionnaires de la Police Nationale, que les faits soient les mêmes témoignages et vidéos compris, conduisant les juges à des décisions identiques.
Imaginez que la patron de la discothèque soit Préfet de Police et qu'il apporte es-qualité son soutient financier au Ripoux écussonnés ?
Sera-t-il convoqué par les juges ?
Le ministre de la justice, vu le statut administratif et social du haut fonctionnaire en question, va-t-il demander à son alter égo de Beauvau de prendre les mesures conservatoires qu'imposent cette complicité avec des délinquants pris en flag, mesurent qui de droit s'imposent ?
Lallement a fait couvrir les frais de justice des policiers mis en examen dans l'affaire Zecler
JUSTICE - Macron a dit sa "honte" etDarmanin a promis leur "révocation", " dès que les faits seront établis par la justice", mais en attendant les quatre policiers mis en examen après le passag...
Liberté de cogner,
Egalité relative,
Fraternité de l'uniforme.
Pour le reste, circulez, il n'y a rien à voir