Mais rions
et sans retenue
tant c'est bon
pour le moral.
En accès libre, sur le diplo.fr, : "Critique de la raison garofique". par Frédéric Lordon.
Ce n'est pas parce qu'il faut sérieusement s'attaquer à renverser au plus vite ce système, que c'est une chose des plus sérieuse, qu'il ne faut pas avoir la distance de l'humour pour mieux lui coller aux basques afin de le faire trébucher.
Pour faire apéritif, ce simple moment de pure jubilation :
" Le gorafique est donc bien une histoire de réalité et de fiction, plus précisément de réalité désormais systématiquement en avance de la fiction. C’est donc aussi l’histoire d’un drame social, drame de la ruine d’une corporation, celle des scénaristes et des humoristes, à qui les normes de leur univers opposent spontanément, par réflexe méthodologique jusqu’ici bien fondé, un « Coco, là tu vois bien que c’est trop gros », aussitôt démenti – ou confirmé, comment faut-il dire ? – dans la réalité."
Disons que Fr Lordon, là, c'est à la fois Marx décrypté par Pierre Dac et Marx nous disant "utilisez la dialectique de Desproges comme point d'appuis façon Archiméde comme levier pour soulever et retourner le monde".
Rarement rire salutaire n'aura été aussi fécond.
A vous de lire.
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Critique de la raison gorafique
Le gorafique est un fait majeur de notre temps. Tout le monde le sent intuitivement. Mais en avons-nous pour autant le concept ? Au moins la philosophie d'aujourd'hui connaît-elle son apéritif ...
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