Ou de la relativité
dans les méandres
de la politique française.
Révélateurs des errances idéologiques du moment, l'actualité braque ses projecteurs sur quelques questions qui font marqueur de l'états des débats d'idées.
Les silences et indignations des uns et des autres, souvent les mêmes, balisent le terrain de ces débats.
Il y a ceux qui s'indignent de voir les conditions de pertes d'un marchés d'armes mais reste cois devant la marchandisation des brevets des vaccins et médicaments.
Il y a ceux qui se taisent sur le budget militaro nucléaire de la France et qui se mobilisent contre le nucléaire civil.
Ceux qui acceptent la participation aux agressions des peuples par l'OTAN et dénoncent (à juste titre)le totalitarisme du pays à qui ils ont abandonné notre souveraineté.
Ceux qui dénoncent Macron après avoir appelé à le soutenir.
Ceux qui trouvent légitime l'idée de supprimer les avantages statutaires des agents des services publics et trouvent des justifications aux hausses du prix de l'énérgie ou des transports après la privatisation des entreprises publiques et le gavage des actionnaires.
Ceux qui demandent l'application des lois et disent lutter contre le racisme mais justifient d'aller débattre avec un condamné repris de justice raciste faciste.
Il y a ceux qui ... la liste est extensibles.
Tous ont déja acheté leurs billets pour assister à la finale du printemps 2022 en individuels et par équipe. Déjà ils profèrent leurs encouragements à leur champion(-ne). Le mêmes le plus souvent sont absents des luttes sociales ou - pire - conditionnent leur engagement à la mise en remorque des énoncés ci dessus.
Verts, roses, rougeatres, blancs, bleus, bruns de toutes densités, du grand art dans la duplicité du double langage et permet au capital de maintenir son talon de fer sur l'ensemble de ceux qui produisent les richesses et en sont spoliés.