De l'art de réviser l'histoire
et bien montrer
qui on est
Dans les années 70-80 du siècle d'avant, le rassemblement des remugles de la Kollaboration et de l'OAS réunis profitant d'un vide juridique capte le sigle "F-N" abréviation populaire du Front National pour la Libération et de l'indépendance de la France fondé à l'initiative du PCF fin avril 41.
C'est ainsi que jusqu'à ce que larguant sont "F" pour le muter en "R" le parti de la haine a tenté de s'accaparer en vain la mémoire républicaine et antifasciste.
2022, le gauleiter du capital en France, un certain Macron, tente l'aventure révisioniste en voulant capter le glorieux CNR.
Que vont en dire ces élus, souvent anciens "socialistes" ou anciens "gaullistes", qui ce 27 mai encore saluait la mémoire de Jean Moulin, du CNR et de son programme qui annonçait la suppression de la main mise de l'argent sur la société française, le primat de l'intérêt collmectif sur l'avidité privée ?
Celui qui signe cet article dans ses responsabilités associatives et militantes va tout faire pour que se rassemblent le plus grand nombre des associations, musées et institution qui portent la mémoire républicaine, pour neutraliser la tentative délibérée de gommer ce qui dans l'histoire contemporaine fait boussole pour le mouvement populaire. A chacune et chacun d'entre vous de voir comment s'investir dans ce combat, il est de la plus haute importance.
Cela dit, d'aucun reprroche à certains de ceux qui défendent la mémoire de la Résistance de ne pas avoir voté pour le chef des révisionistes policés. Un mois après l'élection présidentielle, qui avait vu juste ?