La Canaille s'honore d'avoir fait partie en son temps de ceux qui se sont opposés à la fiscalisation des allocations familiales et d'allocation logement, d'exiger qu'elles restent comme la retraite et la Sécu ou le chômage prélevées là où se produisent les richesses : l'entreprise.
Bataille perdue parce que dans le camps des salariés certains ont fait défaut. Evidement les signataires habituels...mais comme pour la suppression de l'autorisation administrative de licenciement et dans la construction du rapport de force nécessaire, pas qu'eux, hélas*.
Que la déclaration et le texte de Baroin* (link ) rendu public aujourd'hui fassent que le nombre de coups de pied au cul que leurs capitulations ou silences ont permis vont leur attribuer leur donnent de telles douleurs qu'ils ne soient plus aptes à chercher le moindre siège.
Si le lien ne fonctionne pas copier coller:
http://bercy.blog.lemonde.fr/files/2010/06/cmpp4.1277886559.pdf
* : Il est vrai que ceux qui pilotaient là ce recul savaient mieux que les salariés d'ici ce qui était bon pour eux. Les mêmes n'ayant jamais travaillé pour un patron et fait la moindre seconde de grève dont il approuvaient l'interdiction dans les pays où ils passaient des congés payés par les cotisations des militants salariés.