La presse occidentale (surtout ses propriétaires mais aussi quelques plumes à son service) fait la gueule :
Cela ne s'arrange pas au Vénézuela.
Tornade, Tempêtes tropicale, marée noire, champ de pétrole en feu ?
Vous n'y êtes pas :
Maduro à gagné les élections municipales alors qu'il fallait qu'il les perde.
Corolaire, La Canaille se réjouit :
Le Monde :
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, est parvenu dimanche 8 décembre à maintenir la domination de son parti dans une grande partie des villes du pays lors des élections municipales. Le scrutin, qui s'est déroulé sans incident, faisait figure de premier test électoral pour la gestion de M. Maduro, élu de justesse en avril dans l'ombre de Hugo Chavez – mort d'un cancer en mars – et confronté depuis à une situation économique délicate.
Le Parti socialiste au pouvoir a emporté 196 municipalités, contre 53 pour la coalition de l'opposition. Celle-ci conserve toutefois le contrôle des deux principales villes du Venezuela, a annoncé dimanche soir le Conseil national électoral (CNE). Selon ces résultats portant sur plus de 97 % des suffrages, 80 mairies n'ont pas encore été attribuées et seulement huit sont tombées aux mains d'autres formations politiques.
Le Figaro comme les autres titres du web n'ont pas du avoir les résultats
Façon curieuse et impartiale de présenter les résultats :
"principale coalition de la droite, a obtenu 42,7 % des voix (4,4 millions), pour une participation estimée par le CNE comme supérieure aux attentes, à 58,92 %."
Cela leur écorche les doigts de taper que Maduro à recueilli 56,3% des voix et avec près de 60% de participation. (ohé du Monde ! On regarde la participation électorale en France ?)
Canaille le Rouge vous laisse savourer(!) ou du moins mesurer le vocabulaire du quotidien dit de référence.
Autre version disponible de Caracas le 09 décembre 2013 mais là ...