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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Précisions

Publié le 23 Décembre 2013 par Canaille Lerouge in Résistance, Mémoire et Histoire

À l’hôpital Cusset, établissement désaffecté de Lyon transformé en lieu de cantonnement au lendemain de la Libération, un groupe de combattants des FTP-MOI de « Carmagnole » et de « Liberté » pose autour du responsable interrégional, le « commandant Lefort ». Dinah Lipka est photographiée au premier rang. (Source : COLIN Claude, Carmagnole et Liberté, Les étrangers dans la Résistance en Rhône-Alpes, Grenoble, PUG, 2000).

À l’hôpital Cusset, établissement désaffecté de Lyon transformé en lieu de cantonnement au lendemain de la Libération, un groupe de combattants des FTP-MOI de « Carmagnole » et de « Liberté » pose autour du responsable interrégional, le « commandant Lefort ». Dinah Lipka est photographiée au premier rang. (Source : COLIN Claude, Carmagnole et Liberté, Les étrangers dans la Résistance en Rhône-Alpes, Grenoble, PUG, 2000).

 

 

Un canaillophile ayant interpelé votre claviéripratcteur préféré sur la non reprise du magnifique texte de Léon Landini à propos du sinistre Onfray (que La Canaille avait étrillé à propos de ses déclarations nauséeuses sur les fusillés de Châteaubriant dont Guy Moquet et Claude Lalet) il est bon d'éclarer les lanternes...

 

C'est tout simplement parceque ce texte a été ici mis en ligne quasiment dès sa parution le ...11 avril 2013 pour un texte que Léon a signé le 25 mars. (http://canaille-le-rouge.over-blog.com/article-les-mensonges-ou-comment-onfray-bien-de-mettre-le-faussaire-en-pleine-lumiere-116996314.html, )

 

Un texte à l'époque suivi de quelques précisions en particulier sur la manif du 11 novembre 40. 

 

PS si vous ne l'avez déjà fait, courrez voir le film de Gilles Perret "les jours heureux" vous y verrer (et entendrez) combien chez Léon il n'y a pas que la plume qui est vive mais aussi le regard et l'esprit qui porte cette plume.

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