les antibiotiques
là aussi
sont pathétiques
Cela tourne en boucles dans les milieux bien NTICisés. Il y a virus et virus : Il y a des malveillants qui viennent de salauds et des saloperies qui sont installés par des malveillants...et ils font des petits !
Il apparait que l'ypérite informatique qui sévit sur la toile depuis quelques temps serait le fruit des amours incestueux entre les services secrets britanniques et ceux des Etats Unis.
Sur ce coup, le mossad, cocu, fait la gueule.
Avec l'infaillibilité de Rome nous avions le "Salve Regina". Avec Washington et London c'est "place à régin ; et "gardez-nous de Snowdon" qui vous révèle la piste de son ADN".
Regin est un virus qui n'est pas Russe mais pour autant est vicieux.
C'est suffisament lourd pour que la presse atlantiste sur ce coup se mettent en colère et valide (si besoin encore était) les révélations du dit Snodown.
"Ces soupçons sont alimentés par le degré de complexité de Regin, qui a poussé les laboratoires Symantec et Kaspersky à évoquer le rôle d'un Etat dans sa conception. La piste menant à des services de renseignement occidentaux était la plus évidente.
Moins de cinq pays dans le monde ont intérêt et sont capables de produire des programmes espions de ce niveau. Les Etats-Unis ont déjà apporté la preuve de leur compétence dans le domaine en mettant au point, avec les Israéliens, le virus Stuxnet. Ce dernier avait pour but de perturber le programme d'enrichissement d'uranium en Iran.
« Nous sommes entièrement d'accord avec les conclusions de Symantec et Kaspersky sur l'origine étatique de ce programme malveillant. La complexité de fonctionnement et l'architecture interne mise en place par les auteurs de Regin ne laissent aucun doute possible » explique au Monde Paul Rascagnères, expert au sein de l'entreprise G Data. Avec son confrère Eric Leblond, ils ont été les premiers à présenter fin octobre une analyse de fractions du code de Regin, avant que ce dernier ne fasse les gros titres.
Par ailleurs, les attaques contre Belgacom et les institutions européennes, dont parlent The Intercept, étaient déjà connues : elles avaient été révélées par le biais de documents d'Edward Snowden, qui évoquaient également l'implication des services de renseignement américains et britanniques. Mais on ne savait pas, à l'époque, comment les Américains et les Britanniques avaient procédé.
Or, la Belgique fait bien partie des pays dans lesquels des réseaux infectés par Regin ont été retrouvés, selon la firme Kaspersky, l'une des deux entreprises àavoir analysé une partie de Regin en profondeur. Et des détails sur ce qu'on sait maintenant être le virus Regin ont été publiés sur un site spécialisé le jour de la découverte de l'infection par les équipes de Belgacom, le 26 juin 2013, note The Intercept.
Deux jours après l'annonce de la découverte de Regin, un virus extrêmement sophistiqué développé par un Etat à des fins d'espionnage, les services de renseignement américains et britanniques sont montrés du doigt.
Selon le site The Intercept, le GCHQ (Government Communications Headquarters) et la NSA (National Security Agency) ont utilisé Regin pour espionner Belgacom, important opérateur téléphonique belge, puis, à partir de là, certains de ses clients, notamment plusieurs institutions européennes.
Une source proche du dossier, qui tient à rester anonyme car elle n'est pas autorisée à s'exprimer publiquement, a confirmé au Monde que Regin avait été trouvée au sein des réseaux de plusieurs institutions européennes.
Il y a 60 ans le FBI et la CIA avaient envoyé les Rosenberg à la chaise électrique pour espionnage.
C'est quand qu'on fait des brochettes au dessus du pentagone ?