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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

17 octobre 1961

Publié le 17 Octobre 2016 par Canaille Lerouge in politique, Coup de gueule, Pour réfléchir ensemble, Mémoire et Histoire, fascisme

Rappeler aujourd'hui

qui sont ceux

qui ont permis,

voulu, organisé, couvert cela :

17 octobre 1961

Les responsables de cette terrible répression ne sont pas loin. Ils avaient alors inventé le terme de "ratonnades" qui les caractérisent.

Aujourd'hui, ils parlent de gris, toujours de "bougnoules" généralisés au très soft "migrants". Toujours ressurgissants pour tous les combats réactionnaires.

Avec leurs succésseurs ceints d'écharpes et portant drapeaux dans le défilé des rancis d'une inhumaine vertu qui (sans interdiction, eux) ils étaient dans le cortège homophobe intégriste qui s'étirait à Paris ce 16 octobre.

Ils sont avec leurs gros bras à la tête des rassemblements anti-réfugiés qui instille une haine vengeresse pour part sécrétée par la rancœur d'avoir perdu leur statut (et rentes) de colon en Afrique du nord.

On les retrouve tenanciers de ces chancres "identitaires" qui ouvrent avec l'assentiment des autorités qui refusent de les interdire.

Ils ressortent, tapis et enkystés qu'ils étaient, dans certains espaces policiers où à partir des crises et violences urbaines certains ne se privent pas d'ouvertement d'attiser les colères pour en faire de la haine chimiquement pure.

Leur origine, leurs mots , leur pratique, leur objectifs les caractérisent comme étant mères porteuses, géniteurs de cette procréation politiquement assistée dont le  fruit de leur union accouchent des enfants perpétuant la bête immonde.

En 1943, depuis sa prison berlinoise, avant d'être exécuté, Julius Fucik, communiste organisateur de la résistance tchèque s'était écrié:

"Homme, je vous aime, veillez".

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J
Dire qu'il y a quelques années j'ai mangé à la table d'à côté de ce Papon et de sa femme dans une pizzeria à St Amand-Montrond sans savoir à qui j'avais affaire . Son chauffeur avait mangé lui à une autre table à l'opposé de son patron . Non je ne connaissais pas le "bonhomme", simplement de mauvaise réputation par mon père ; car je ne connaissais , comme beaucoup d'élèves français , qu'une histoire de France CONTREFAITE enseignée et servie par des professeurs pour le moins serviles et surtout destinée à soutenir et à entretenir un PRESTIGE FRANCAIS qui n'est pourtant plus qu'une ombre , qu'un fantôme .<br /> Je n'ai su l'identité du "bonhomme" Papon par le patron de la pizzeria qu'un coup celui-là parti .<br /> Comme je l'avais déclaré au patron de la pizzeria , si j'avais su auparavant que c'était ce "fameux" Papon qui était attablé à 1m ou 2 de moi , j'aurais sacrifié ma pizza pour lui envoyer en pleine tronche . Déjà à cette époque là , j'avais de bonnes raisons de lui en vouloir .<br /> Encore un "bon commis" de l'Etat français qui n'aurait jamais dû naître !