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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Ce n'est pas tous les jours que le P.S. arrive à nous faire rire. Profitez-en...et faites-en profiter vos amis.

Publié le 4 Décembre 2016 par Canaille Lerouge in politique, En passant - juste un mot, Mémoire et Histoire, Rire et sourire, la culture et les idées, société, culture, Histoire

 

Le licenciement du responsable communication

à prévoir ? 

Certains pensaient

au Radeau de la Méduse.

Les plus hardis à un Arche de Noé.

Les plus mystiques à l'organisation

de la traversée du désert.

Que nenni !

 

"La belle alliance",

Kéçako?

 

Hé oui, il faut rester plus terre à terre.

La belle Alliance ce n'est pas un fringant vaisseau, mais, à l'identique d'un titanic, un clin d'oeil à l'histoire :

La Belle-Alliance est un lieu-dit marquant du site sur lequel s’est déroulée la bataille de Waterloo,

Tous raccourcis avec les "primaires" et ou les comptes de campagne ne seraient que pures spéculations de mauvaises fois, les encyclopédies en ligne nous apprennent l'histoire, elle sont là pour cela :

Avant l’érection de la butte du Lion, entamée en 1824, le lieu de rendez-vous des touristes désireux de visiter le champ de bataille était précisément le cabaret de la Belle-Alliance.

C’est ainsi que l’on vit se succéder à cet endroit la moitié des têtes couronnées d’Europe : Frédéric-Guillaume III de Prusse, le roi Guillaume des Pays-Bas (en juillet 1815), le tsar Alexandre (en octobre 1815), le roi George IV d’Angleterre, guidé par Wellington lui-même, en 1821, sans compter les souverains et princes de moins hauts parages.

À cette époque, le cabaret était donc mieux exploité qu’il ne l’avait jamais été. Une bonne affaire !… On raconte que le cabaretier qui n’était pas la moitié d’un malin, montrait le clou où Napoléon avait accroché son chapeau durant la journée du 18 juin.

Le touriste, avide de souvenirs, cherchait à acheter le fameux clou que le cabaretier, très réticent, finissait par lui céder à prix d’or. À peine le visiteur avait-il tourné les talons qu’un autre clou venait prendre la place du précédent.

Toujours est-il que, peu de temps après la bataille, le cabaret, dans l’état où il était, fut revendu pour la somme astronomique pour l’époque de 12 000 francs-or.

Le responsable à la communication de la Solferinocratie n'est pas démuni d'un sens de l'humour particulièrement affûté ...qui , vu le climat très en adéquation de la période avec l'histoire du lieu, risque de lui coûter son poste.

On voit les dégâts collatéraux que peuvent produire les réformes à la hussarde dans les programmes d'histoire.

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R
La Belle Alliance. Apparemment, ce "cher" Dany le Rouge devrait l'être de honte. Reçu ce matin sur France Inter '& réécouter) n'en connaissait pas l'origine, se contentant de déclarer que celui qui avait trouvé cette expression n'était pas très inspiré (en sustance). Ce même Daniel Cohn Bendit n'yant rien contre la présentation de Macron aux primaires, voire à l'élection présidentielle, voire comme Président. Etonnant, non ? comme aurait dit Pierre Desproges ! Il a bien sur tapé sur cette malheureuse Royal et ses propos sur Fidel castro, qui est bien sûr, pour ce révolutionnaire d'opérette, en fait l'un des premiers instrumentalisé pour l'une des premières "révolutions oranges", un dictateur. Il en a également profité pour fustiger cette Europe qui ne fait rien pour arreter les "massacres à Alep", ceux de ces amis de 'l'opposition modérée", des 'insurgés". Rejoignant en cela nos merdias, admirateurs des égorgeurs et ou coupeurs de têtes.