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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Peut pas mieux dire.

Publié le 2 Février 2017 par Canaille Lerouge in politique, PS, Pour réfléchir ensemble, lutte de classe

 

Certains savent dire

 tellement bien les choses

qu'il n'est pas utile

d'en rajouter

c'est le cas de ce message de Roger 

 

 

Son message sur sa page ne justifie aucun bémol pour en modifier le sens .

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

A l'heure où les candidats à la présidence de la République de la droite et de l'extrême droite sont mouillés dans des emplois fictifs et pas rémunérés aux minima sociaux, voilà que revient le sempiternel refrain d'une candidature commune à gauche, en y incluant Benoît Hamon et ses gens, tous inféodés jusqu'à maintenant au pouvoir socialiste. Celui qui a fait tant de mal au peuple de France en favorisant le patronat, la finance et la fraude des deux premiers et des politiciens.

Je veux bien tourner la page pour aller vraiment de l'avant, mais pas avec le candidat désigné du PS qui est au pouvoir et escompte y rester. Excusez du peu!

De plus, Benoît Hamon a voté l'état d'urgence qui entrave nos libertés et l'exercice normal de la justice au nom du peuple français. Ce candidat à la présidence de la République souhaite-t-il une 6e République décidée par le peuple et pour le peuple? Non. Revendique-t-il dans son programme le retour de la retraite à 60 ans et à taux plein, la réduction du travail à 32 heures, l'augmentation du pouvoir d'achat par la juste revalorisation des grilles salariales et des pensions de retraites, la renationalisation de l'énergie ou des autoroutes, pour ne citer que celles-là? Non. Veut-il que la SNCF retrouve son unicité votée par le Front populaire et revienne au service de l'intérêt public et de la souveraineté de la France? Non.

Oui, mais il reste le revenu universel, cette fausse bonne idée qui, déjà en 1970, faisait dire aux socialistes de gôche, que c'était "la solution pour poursuivre l'accumulation du capital sans trop de difficultés".

La social-démocratie française a toujours mené les producteurs de la richesse nationale dans un cul-de-sac. Libre à chacun de s'y enferrer à nouveau en ripolinant de neuf un vieux parti qui a toujours gérer le business du capitalisme. Hier comme aujourd'hui et comme il le fera demain.

Dès lors, ne comptez pas sur moi 

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