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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

le prix du mépris

Publié le 26 Octobre 2017 par Canaille Lerouge in politique, Nouvelles du front, Pour réfléchir ensemble, Du côté du capital, Solidarité internationale et expériences

 

de Caracas à Kiev,

tout ce qui est fasciste est leur.

le prix du mépris

Le prix 2017 "sac à rosse" tant on répugne quelques soient les débats à voir accoquiner le nom d'un grand physicien à cette caniveaucratie à laquelle vient de se livrer, via les inquisiteurs de la Commission Européenne (seule le respect de la syntaxe maintient les majuscules), ces hors sols cornaqué par des non-élus parlant en notre nom, à afficher la honte de leur choix sur les écrans.

2017, un prix lowcost qui ne vaut vraiment pas cher.

Les mêmes qui en chœur travaillent avec vigueur à donner échos et tremplins à tout ce que l'Europe compte d'ultra réactionnaires, ceux qui affament le peuple Grec, soutiennent les nazis de Kiev à Tallin, ceux qui laissent la vieille droite franquiste tordre l'idée de démocratie en Espagne viennent de remettre leur prix annuel aux battus du suffrage universel, aux responsables de plusieurs dizaines de morts depuis le début de l'année au Venezuela.

Les mêmes qui à l'image d'un Macron refuse en octobre de condamner le tortionnaire du Caire au nom du refus de s'ingérer dans les affaires d'un "état souverain", grâce à leur conception à géométrie variable de cette souveraineté tentent par tous les moyens de renverser un gouvernement légalement au pouvoir et confirmé à chaque élection.

Et ont voudrait que Canaille le Rouge baisse la garde sur l'urgence de quitter cette "UE" non réformable, non amendable tant dans ses pratiques que dans ses fondamentaux qui comme le disait le PCF d'alors au milieu du siècle dernier étaient "le repère de la réaction la plus violente au service d'un Capital toujours plus exploiteur".

Cette nomination de la réaction vénézuélienne a été portée par le Parti populaire européen (PPE), de droite, celui de Rajoy et LR de France,  soutenue par l’Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe (ADLE)(Artuis et Cavada), les Conservateurs et réformistes européens (CRE) et l'extrême droite de l’Europe des nations et des libertés (ENL) tout le gratin le peniste du f-haine. 

Les mêmes qui à l'image d'un Macron refuse en octobre de condamner le tortionnaire du Caire au nom du refus de s'ingérer dans les affaires d'un "état souverain", grâce à leur conception à géométrie variable de cette souveraineté tentent par tous les moyens de renverser un gouvernement légalement au pouvoir et confirmé à chaque élection.

Et ont voudrait que Canaille le Rouge baisse la garde sur l'urgence de quitter cette "UE" non réformable, non amendable tant dans ses pratiques que dans ses fondamentaux qui comme le disait le PCF d'alors au milieu du siècle dernier étaient "le repère de la réaction la plus violente au service d'un Capital toujours plus exploiteur".

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