Le choix du chaos
par les étoilés du calot
et les sulfureux stratèges
de l'Elysée-Beauvau.
Un syndicat de policier "Alliance" (classé à droite de la droite dans la profession et qui n'est donc pas spontanément dans le référentiel de Canaille le Rouge) éclaire un peu plus la responsabilité du ministre de l’intérieur et ses calculs machiavéliques :
Pour Alliance, la stratégie de laissez-faire du gouvernement n'a qu'un objectif, jeter le discrédit sur l'ensemble de la mobilisation contre la Loi Travail. Son Sg déclare sur BFMTV (une chaîne où il y a plus de chiens de garde que de manifestants potentiels dans la rédaction) :
"Je pense que ça vise aussi à discréditer le mouvement social et syndical parce qu’évidemment, lorsque des syndicalistes manifestent contre un texte et qu’il y a des casseurs qui cassent tout dans le quartier, que les riverains sont exaspérés et que la police ne peut pas rapidement intervenir, et bien ça discrédite aussi quelque part le mouvement social" estime Jean-Claude Delage.
Rappelons que grâce à l'état d'urgence, Beauveau a su à plusieurs reprise assigner à résidence pour interdire de manifestation des militants non liés au bébés encagoulés de Collomb.
Alors que depuis 4 jours les services de la PPP et le ministère de l’intérieur en avaient identifié 300 à 400. Pas d’interpellation préventive réservé aux militants syndicaux, ni de nasse réservée aux manifestants des cortèges de travailleurs et leurs familles.
Ils les laissent parader en tenue dans les rue de Paris, se regrouper devant CRS et gardes mobiles, et interdisent aux forces de l'ordre d'intervenir.
Les syndicats de police (tous) confirment la volonté de pourrissement par l'état-major de la police, sur ordre du pouvoir, de laisser dégénérer la situation pour une opération de propagande justifiant les attaques à venir contre le droit de manifestation.
Ce Collomb de plus en plus Moch à dans ses gènes du Bonnet et du Marcelin à moins que cela soit du Ponia fécondé au jus de Papon.