Faits divers
Carlos Ghosn
Chevalier Commandeur Honoraire de l'Empire Britannique
Chevalier de la Légion d'Honneur
Grand-croix de l'ordre d'Isabelle la Catholique ()
plus quelques autres breloques accrochées au vestons
est conraint de vous faire part d'une indisposition passagère
La Maxime du jour :
"moins il y a de métal dans les voitures, plus les patrons sont en tôle (taule ?),
Et toujours les salariés qui dérouillent"
La police japonanise soupçonne le patron de Nissan Mitsubishi Renault d'avoir tenté d'usurper la place de P Balkany.
La peuve de la tromperie a été faites quand Carlos Gohsn a effectivement pu être mis en garde à vue.
C'était il a y moins de deux semaines, le "je sais tout de façon complexe" de l’Élysée était accueilli comme monarque dans un de châteaux coffre-fort à profits du Samouraï au sabre à cames.
Manu El Monarc promis à l’enfer du nord venait à peine de s'offrir une récrée chez le Châtelain du NRM (Nissan Renault Mitsubshi. ; entre gens de bonne compagnie on allait pouvoir disserter sur le ruissellement, que patatras...Tout s‘effondre.
La quinzaine d’après, chose impossible l'époque où Renault était une entreprise nationale, le groupe NRM vient de perdre un 1/3 de sa capitalisation boursière par la grâce des irrégularités fiscales de celui qui gagne par an hors stock-options l'équivalent du salaire annuel de 1200 smicards est entre les mains de la police nippone pour avoir frauder le fisc japonais comme le premier Balkany venu.
La presse japonaise nous apprend que comme de plus il se « serait servi des biens de l'entreprise à des fins personnelles » ; façon élégante de dire que plus ou moins directement il s'est trempé les pognes dans le pot de confiture, moins pénible que de poser de la graisse à roulement et plus matériellement gratifiant, le Samouraï de sabre à came va se retrouver débarqué dans les heures qui viennent des bateaux Nissan et Mitsubishi de l’armada NRM.
Le fleuron industriel de la France va pour une durée non définie être dirigé par un tricard.
Au même moment à Paris se déroule le procès des banquiers Suisses dragueurs hébergeurs de fraudeurs fiscaux français .
Nombre d'équivalent SMIC pour engraisser le premier, nombre équivalent SMIC soustraits à l’impôt par les autres nombre d'équivalent SMIC comme amende à payer hors remboursement des fraudes .
Et ensuite bien calé entre les ors de la république et les villégiatures à cette lanterne d’où il faudra un jour sortir de nouveaux les aristocrates du pouvoir et de la finance pour les accrocher à celle de 89, ils viennent sans vergogne nous dire qu'il n'y pas de sous pour augmenter le SMIC .
Normal ils se goinfrent avec