Capitalisation boursière les uns,
mixité des capitaux proposent les autres.
Mais toujours le capital
A la fin des années 90, le Président de la SNCF a été interpellé et mis en détention provisoire puis remplacé suite à des mises en examens pour des fraudes financières dans l'ancienne entreprise (Elf Total Fina ) qu'il dirigeait.
La SNCF ne s'est pas retrouvée avec une pertes de capitalisation boursière, les trains ont continué de rouler, le matériel et les infrastructures à alors à cette époque être entretenus.
Il faut dire qu'entreprise publique, la SNCF n'était pas cotée en bourse (comme la régie Renault avant sa privatisation) et donc ne risquait pas de perdre 1/3 de sa capitalisation boursière. Ses recettes ne servant pas à capitaliser ou à payer son président 400 fois le salaires moyens des cheminots mais à payer aux banques (à la place de l'état) le remboursements des emprunts aux banques permettant à leurs traders de spéculer et de ruiner des pans entiers de l'économie.
C'est bien la preuve de la supériorité de la propriété publique des moyens de production et la ruine économique et sociale engendré par le pillage que permet la gestion privée pour les dividendes et l'accumulation intrinsèque au capitalisme.
Les Agents d'Ex EDF GDF disent pareil pour leur secteur : comme chez Renault, salaires bloqués emplois sacrifiés et les actionnaires qui se goinfrent, les dirigeants payés autant que le total des revenus de centaines de leurs agents.
Et certains parlent de garder la mixité publique-privée de capitaux et osent la parer du terme de visée pour un parti se disant communiste ?
Carlos Ghosn est la démonstration caricaturale de la nature parasite du capitalisme et de la raison de l'effondrement de ceux, tous ceux, qui viennent à son secours.