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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Ah si Boris était là ! qu'une piètre imitation mais ...

Publié le 22 Janvier 2019 par Canaille Lerouge in luttes, débat, lettre, Président, chanson, musique

♫En avant la zizique♪,

la sienne !

Ah si  Boris était là ! qu'une piètre imitation mais ...

A la manière de.

(qu'à la manière, savoir rester modeste)

Monsieur le président

nous adresse une lettre

que nous lirons peut-être

si nous avons le temps.

Il vient d'nous envoyer

un papier fort austère

nous disant de nous taire

de suivre son bon vouloir.

Monsieur le président

Nous n'voulons pas nous taire

Nous n'avons rien à faire

D'vos propos méprisants.

 

C'est pas pour vous fâcher

Il faut que l'on vous dise

Not' décision est prise

On n'va pas vous lâcher

 

Depuis maint'nant deux mois

Ça cogne sur les boulevards

Ça rafle sans trop d'égard

Pour les droits citoyens

Usant de Castaner

Clone d'un Papon, vulgaire

Vous voulez nous faire taire

Mais vous n'y pouvez rien.

 

Avec vos affidés

vous lâchez vos gendarmes

ils usent de toutes leurs armes

s'en servent pour éborgner.

Demain avec entrain

nous reprendrons les grèves

nous troublerons vos rêves

bris'rons votre dédain.

 

C'est nous qui sommes la vie

face à vot' pouvoir rance

à travers toute la France

nous clamerons aux gens :

Refusez d'obéir

non à l'autoritaire,

au clan des actionnaires,

faisons les déguerpir

 

S'il faut faire des efforts

ouvrez vos coffres-forts

vous autres si bon apôtres

pour piller les brav' gens

 

Si vous nous poursuivez

prévenez vos CRS

de bien serrer les fesses

nous saurons les calmer..

Canaille le Rouge persiste et signe,

souhaitant que Boris ne s'en offusque pas 

Ci dessous la version, vraie, belle par l'auteur.

Que Boris, Canaille historique, pardonne à Canaille le Rouge de l'avoir de façon si opportuniste ainsi pillé.

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