Cet article est reposté depuis Le blog de Roger Colombier.
Une information parvenue sous les yeux de Canaille le Rouge mais que Roger traite de bonne façon donc avant commentaires de La Canaille, laissons lui la place sur vos écrans ; instructif.
Des Transiliens bloqués par les diktats de Bruxelles
PANNEAU EXIGEANT L'ARRÊT ABSOLU
Comme l'UE du capital régente tout sur le continent, elle impose depuis peu que les trains français de banlieue doivent pouvoir circuler sur les lignes internationales. Sinon couic. Valérie Pécresse, présidente de droite de la région Île-de-France, vient de s'en apercevoir à ses dépens, alors que la droite est majoritaire à Bruxelles. A ses dépens, c'est
Canaille le Rouge se permet juste de préciser que Dame Pécresse et sa cohorte d'Europhiles fournisseurs d'Eurocrates fait partie de la confrérie de ces cabris bondissant au cri de "Europe Europe Europe" qui de référendum en traités poussent aux abandons de souveraineté lesquels conduisent à cette situation qu'elle dénonce après l'avoir provoquée.
Ce n'est ni une politique de gribouille ni l'arroseur arrosé mais tout bonnement la duplicité qui comme chacun.e peut le mesurer est une denrée particulièrement bien répartie dans l'espace politique contemporain.
Voilà où conduit l'abandon des études recherches en matière ferroviaire, la casse de la SNCF qui la pilotait et les suites de la directive 91/440 que les cheminots toujours à l'inititative de la CGT souvent de façon unitaire ont combattu mais que TOUS les gouvernement depuis 1991 et TOUS les ministres des transports avec TOUS les partis de TOUTES les majorités depuis 1997, parfois avec des élasticités permettant de faire bonne figure ont organisés, cautionnés, coordonnés depuis au moins trente années.
Les pages validées par Bruxelles sont toutes écrites à Paris... et dans les conseil régionaux.