De sources diverses
mais toutes convergentes,
le peuple bolivien
tape du poing par les urnes.
Il bat la droite fasciste
à plate couture.
Après le coup d'état fasciste fomenté avec la logistique du Trumpland, ses relais ex nazis, par les latifundiaires, les cartels de la drogue, et les multinationales voulant mettre la main sur les gisements de Lithium, 7 300 000 Boliviens étaient appelés aux urnes.
Une éléction que la junte devant sa faillite en particulier dans la gestion du coronavirus (8400 morts officiel pour 11 millions d'habitants) s'ajoutant à la colère déjà forte face au putsch, les répressions et la misère sociale qui l'a suivi, n'a pas pu empêcher.
Les Boliviens devaient élire leur président, leur vice-président, et renouveler l’ensemble du Parlement, où le Mouvement vers le socialisme (MAS) d'Evo Moralès était majoritaire.
C'est le MAS et ses candidats qui l'emportent très largement, le successeur d'Evo Moralès ancien ministre des finances de Moralès pouvant être élu dès le premier tour.