A quand un vaccin pour les tiroir-caisses?

Histoire de rassurer GRdB

ci-devant président

du Medef

et donc tuteur

du locataire  de l'occupant 

de l'Elysée.

le cri du coeur doit être entendu , il faut lui porter assistance :

25/01/20121 , "Geoffroy Roux de Bézieux préfère prévenir : en cas de reconfinement, "tous les commerces" doivent rester ouverts, a demandé sur BFMTV le patron du Medef. "Il faut laisser les commerces ouverte, que ce confinement soit le plus court possible car certains secteurs sont à l'agonie", a-t-il dit.

Ce qui importe au patronat , ce n'est pas la situation sanitaire, pas le nombre de contaminés, pas de savoir comment limiter au plus vite les contaminants. Non! 

Ce qui le taraude, c'est l'agonie du chiffre d'affaire et la façon dont il doit être soutenu.

Quid des salariés qui de la production des marchandises à leur passage en caisse animent ce circuit si vertueux pour le capital puisque lui permettant d'encaisser et accumuler.

Pour cela, entasser dans les transports la viande à produire , stocker sa progéniture dans les écoles collèges et lycées parce qu'il faut que "tout reste ouvert". 

La question n'est pas pour le Medef de savoir comment participer à la protection sanitaire mais comment préserver la rente à tout prix, l'agonie n'étant pas celle des femmes et des hommes qui font fonctionner la société mais la non circulation de la thune chargée d'assurer la rente.

Il démontre ainsi combien les détenteurs du capital sont les antisociaux bénéficiaires d'un rapport social d'exploitation où la mort de la force de travail est une variable parmi d'autres qui peut être compensé par le réservoir du chômage qu'il alimente à haute dose en permanence.