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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

Crise de fou rire

Publié le 4 Décembre 2012 par canaille le rouge in Rire et sourire

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Vous savez ce que c'est, il faut parfois pouvoir décompresser.


Les blagues anticomunistes ont toujours été un des outils à zygomatiser, blagues qui toujours ont irrité les dirigeants du parti...sauf quand c'était eux qui les racontaient et qui dès lors DEVAIENT faire au moins sourire.

 

La canaille se souvient du flop consterné quand en 1969, tout jeune militant, à la fin d'une réunion,  il a demandé à la cantonnade quel était le plus grand pays du monde ?


Expliquant que c'était la Tchécoslovaquie car depuis que les chars avaient quitté Prague, ils n'avaient toujours pas atteint la frontrière... Bon, d'accord, à côté.

Oui, le mégaflop.


Bref l'humour cela se cultive.


Donc quand ce qui suit s'est affiché sur l'écran, Canaille le Rouge à cherché à savoir si un vieux pote de la JC ne tentait pas un message subliminal.


Et bien non.


Le type qui l'a écrit à l'air d'y croire.


Cela n'empêchera pas de rire, surtout quand on voit où en est le P"c"F.

 

 

LE POUVOIR OCCULTE DE LA CGT, BRAS ARMÉ DU PCF

 

 

La CGT est, et a toujours été le paravent du Parti communiste. Ce fut vrai à toutes les étapes de son histoire. Pas une initiative, pas une décision stratégique qui n’ait été auparavant approuvé par le parti.

La CGT est, et a toujours été le paravent du Parti communiste. Ce fut vrai à toutes les étapes de son histoire. Pas une initiative, pas une décision stratégique qui n’ait été auparavant approuvé par le parti.

C’est donc au travers de cette réalité qu’il faut examiner la force de la CGT en France.

J’entends encore M. Jean-Baptiste Doumeng, appelé « le milliardaire rouge » – lequel, à Paris, ne descendait qu’à l’ hôtel Plaza Athenée de l’avenue Montaigne – qu’on interrogeait à la télévision – ce devait être en 1986 – sur le déclin du Parti communiste, dont il était membre, répondre avec son accent rocailleux de la Haute-Garonne : « Un parti qui tient les ports, les transports publics, la presse, la distribution de l’énergie… n’est certainement pas un parti déclinant ! »

Ce qui voulait dire, en clair, que la puissance du PCF n’était pas dans ses scores électoraux, mais dans le fonds de commerce de la CGT.

Ce patrimoine s’est constitué, pour l’essentiel, à l’occasion de chacun des épisodes de participation du Parti à des gouvernements d’ »Union de la gauche ». Création des comités d’entreprise en 1936 ; nationalisation d’entreprises en 1945 et mise en place de comités centraux comme à EDF ; instauration de monopoles d’embauche dans les ports et les imprimeries de presse… ; promulgation des lois Auroux en 1982 qui établissent quelques milliers de permanents syndicaux supplémentaires.

Et en 2012 ? Qui ne voit que le bras de fer actuel entre le PC et le PS, qui s’est traduit ces dernières semaines par une mise en minorité du gouvernement au Sénat, a justement pour cause cette négociation sur de nouveaux avantages accordés aux syndicats, qui d’ailleurs figurent explicitement dans les propositions du rapport Gallois (postes d’administrateurs, présidence des comités d’entreprise…).

Quant à la droite, elle a toujours entretenu l’illusion qu’un accord était possible avec la CGT. Rêve toujours démenti par la réalité. Car la CGT est génétiquement anti-capitaliste et adepte de la violence révolutionnaire, nos Dossiers en sont un constat accablant.

A ceux qui pourraient reprocher à Contribuables Associés de ne rien proposer, rappelons que nous militons (et pétitionnons) pour que soit supprimée toute subvention aux syndicats. Comme aux partis politiques. Comme aux associations, comme aux entreprises ! Car on ne peut être à la fois stipendié et libre…

 

Bonne chance à celui qui va s'attaquer à décalaminer les neurones de l'auteur des propos ci dessus

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