France 2011: les nazis peuvent monter leurs estrades. Mais personne ne les connait. Bizarre non ?

Si on peut trouver cela sans difficulté sur le net (, photo prise à Paris vers le métro Solférino, en lien avec un article du Monde de janvier 2011). 

Le fond et la forme.

La presse de ce jour rapporte que :

" Le Front national a annoncé, vendredi 25 mars, la suspension du parti d'Alexandre Gabriac, un de ses candidats aux cantonales ayant été photographié faisant le salut hitlérien devant un drapeau nazi. Un peu plus tôt dans la journée, le FN, embarrassé par ces images, avait annoncé des sanctions, mais seulement après une "enquête", le principal intéressé affirmant qu'il s'agit d'un montage. Le secrétaire général du parti, Steeve Briois, a indiqué que le candidat est "suspendu du FN et, d'ores et déjà, ne représente pas le FN au second tour des cantonales"."

Mais personne qui ne pousse la réflexion et la mette sur la place publique du comment et avec quelles complicités des nazis avérés et revendiqués peuvent-ils avoir droit de cité au point d'être candidats aux élections.

Les services de police, les RG ou autres, ne savent pas ? Eux qui traquent la lycéenne contestataire ou convoquent le syndicaliste en lutte dans les commissariats, savent même monter des dossiers à charge dont la justice conteste de plus le plus le bien fondé, eux qui transforme une paisible bourgade de la creuse en un prétendu cap d'entrainement de la bande à Baader sont incapables de savoir ce qui se passe dans les facs de droit de Paris d'Aix et de Lyon ? Ils ne connaissent pas les circuits de financement des mouvements pro nazi en France ? Inconnu la constellation de néo, pro, para nazillons dans le FN ? Qui fait de ce choix le principal critère de promotion des cadres ? D'autant que le gus en question est conseiller régional et secrétaire régional du FNJ en Rhône-Alpes,".

La présence prégnante massive des militants négationnistes, des idéologues du troisième Reich, s'activent à réhabiliter de tous les chancres de la collaboration économique, industrielle, culturelle, politique. Ils musardent entre les rangs de l'UMP et ceux du FN, les plus jeunes du second devenant avec l'âge les cadres du premier.

Combattre le fascisme et le nazisme avec les outils de la loi ne dispensera pas de revenir sur le fond de ce qu'est l'extrême droite en France : ses racines idéologique sa provenance socio économique, qui l'a financé et la finance et pourquoi : ses liens organique avec le capital. Le mouvement syndical à décidé de s'e occuper mais le renfort d'historiens, de démographes, de sociologues, de géographes et aussi de politique non égocentrés sur les échéances électorale ne seront pas de trop.

Le Fn n'est pas à combattre parce qu'il est méchant il est à combattre par ce que sa méchanceté est assise sur une conception sauvage et barbare de l'humanité et qu'il est l'outil d'une catégorie de la société contre toutes les autres.

Mais quand dans le gouvernement siègent ou grenouillent dans les coursives, recrutés par Fa# et son environnement immédiat et complice pour ces raisons, des anciens d'Occident, d'Ordre Nouveau du PFN de l'œuvre Française les quels sont adulés par toutes les vieilles peaux de la "division charlemagne" de la LVF, quelques ramassis d'ex miliciens relayés par la génération de l'OAS, faut-il s'en étonner ?