Pour ne pas parler que des conducteurs, des contrôleurs ou des compagnons des ateliers de maintenance et réparations, qu'il est édifiant de voir combien les défenseurs de leurs niches fiscales où depuis leur studios climatisés s'entre-douillettisent les chiens de garde aux micros affûtés et caméra lustrées sont bien moins dans le collimateur que le statut du gars de la voie qui manie à la fourche du ballast par -15° à 3h00 du matin ou l'aiguilleur qui à 4h00 devra faire 70 bornes verglassées pour rentrer chez lui après une nuit à construire des itinéraires et assurer la sécurité de la circulation des trains.