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Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges.

Espace d'échanges, de rêves, de colères et de luttes. Alternative et horizon communiste. point de vue de classe.   Quand tout s'effondre, ce n'est pas aux causes des ruines de gérer le pays mais à ceux qui sont restés debout.

la philosophie du pouvoir : le mépris de la constitution, des lois, et du parlement

Publié le 4 Novembre 2020 par Canaille Lerouge in Du côté du capital, Mensonge d'état, Nouvelles du front, Pour réfléchir ensemble, pandfemie, theo fascisme, démocratie, fascisme, impérialisme, luttes, penser l'avenir, politique, répression, société, social, économie

Quand les locataires déplaisent,

le valet de pied

se prend pour l'huissier 

et tente l'expulsion.

la philosophie du pouvoir : le mépris de la constitution, des lois, et du parlement

Après qu'une des porte-sacoches de Castex a fait pression sur les député.e.s de façon éhontées pour qu'ils renoncent à saisir le Conseil Constitutionnel, ce que la loi lui interdit, l'équarisseur des lits d'hôpitaux a maintenant intimé l'ordre aux parlementaires qui ne l'approuvaient pas de quitter l'hémicycle.

""C'est ça la réalité, si vous ne voulez pas l'entendre, sortez d'ici !", il fallait l'oser, Veran l'a fait.

Un peut comme si Balkany disait à ses juges "foutez le camp de cette salle d'audience" ou Lance Armstrong appelait à chasser les contrôleurs antidopage.

Devant son impossibilité de pouvoir tenir sereinement son cap, le navire macronnien - cargo mixte armé par le medef pour acheminer ses conteneurs - doit subir les lames de la colère populaire que les plus inteligents des réac mesurent comme chargée de déferlentes qui risquent de les conduire à un remake du Titanic. 

Fermer les rayons livres , interdire la musique, empêcher la vente de jouets, de confiseries, fermer les salons de coiffure. Interdire  la possibilité pour les exclus du télé travail de manger un repas chaud le midi à l'abris des intempéries tout cela en laissant les flibustiers de la vente en ligne écumer le marché.

Fermer les bibliothèques, ludothèque médiathèques,  mais entasser les enfants dans les classes , abandonner enseignant et personnels des établissement scolaire jouer ç cache cache avec la mort, pour entasser  les parents dans les bus trains et métro pour aller dégager du profits, cela pour les confinés de Deauville  la Baule, Arcachon ou du Luberon, interdire aux salariés de protester par la répression et la suspension des droits sociaux voila le paysage de la France à l'automne 2020.

Interdire  les stades, les plages, les chemins de randonnées, les théatres et cinéma où personne de postilllone pusque muet,  mais permettre aux plus à l'aise de confiner au soleil quant on entasse le populaire dans ses celllule de  40m2 des barres et tours réglementaires (pour ceux qui y ont accès).

Et maintenant matraquer et gazéq toout ce qui tourne autour des lycées  élèves, enseignant administration parents inquiet devant la gabegie sanitaire construite avec application par le doo Veran Blanquer.

Choix martelés ainsi contre l'avis de la plus grande partie des autorités scientifiques et médicales qui éxigent des mesures fortes mais concertées, ciblées et donc acceptées et dont ils connaissent l'efficacité, avec des méthode à la Valls-Castaner-Lallement.

Dans le mêmetemps, la doxa Medefo-macronienne est reprise hors encadrement  scientifique par les aboiements de tous les chiens de garde.

Cela traduit un régime qui n'a d'obectif que de chaluter en boeuf pour rabattre la force de travail dans les usines établissements et chantiers, vers les collecteurs de la gabelle COVID le fruit de son racket et museler celles et ceux qui auraient des vélléités d'user de leurs droits constitutionnels de citoyen.ne.s.

Si nous échappons encore à Pinochet , nous avons déjà Salazar revisité pat Thatcher.

Ne pas s'y tromper. Nous ne sommes pas devant qu'une inconséquence irresponsable mais devant la mise en oeuvre d'un projet, avec une volonté affirmée de le faire passer en force,  un remodelage de société,  le (la) COVID, formidable aubaine, étant l'argument alibi pour pousser les feux en profitant de la sidération pandémique et de la peur du terrorisme.

Oui il s'agit bien d'une prise en tenaille. 

COVID - Terrorisme.

Question santé, il n'est pas inutile à ce propos d'aider à faire constater que chaque pays joue sa partition alors qu'on nous avait vanté les mérites de cette UE qui devait fédérer les énergies pour le bien être de tous.

Elle est où l'UE dans cette crise ? (au passage et il faudra y revenir, quel silence de son appendice syndicale, la CES, qui démontre avec brio son inutilité).

Quelle mutualisation des savoirs et moyens médicaux impulsée par la commission , quels budgets débloqués pour construire des stuctures d'urgence, fédérer la recherche  ? la police à Europol mais pour la santé c'est europlof.

Par contre elle sait, avec les états membres  se mobiliser pour donner les leçons aux peuples qui empruntent d'autre voies. 

Les incapables d'ici se transforme en experts pour ailleurs.

Macron et ses pantins font la leçon au Venezuela, à la Bolivie, s'inquiètent de voir le Chili marcher vers la démocratie mais laisse Erdogan qui atise le théo fascisme massacrer les Kurdes et se construire un empire en Asie Centrale.

En Afrique la France prétend donner des leçons aux peuples qui s'extrirpent des dictatures qu'elle a soutenues. Là, l'argent qui manque pour la santé ne fait pas défaut l'armée.

Le même pouvoir - celui qui commerce voir économico-copule à coup de commerce d'armes avec les dictatures théo fascistes qui financent le terrorisme - pèse sur les choix des peuples de l'ex empire colonial dont son premier ministre appelle à défendre la mémoire.

Mais notons qu'au final , ici et ailleurs c'est toujours le même projet au service du capital, la France jouant sa partition dans ce concert impérialiste.

Ne pas garder à l'esprit la stratégie du capital, les moyens qu'il se construit, ceux dont les circonstances lui donnent opportunités d'accélérer ses choix, condamne les victimes à subir et à ne pas pouvoir organiser la riposte à la hauteur.

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