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Elle rejette également tout projet de réforme des retraites "qui diminuerait le montant des pensions et repousserait les seuils de départ à la retraite". (Tient ? ça ressemble à chez nous!).
Par cet appel à la grève générale, les syndicats montrent qu'ils ne sont pas disposés à entendre les incitations aux sacrifices lancées plus tôt dans la journée par le premier ministre, Georges Papandréou, qui a estimé devant les députés de son parti qu'il fallait "tout changer" dans le pays pour rendre l'économie viable. "Nous souhaitons nous occuper enfin des ruptures, des grands changements. (...) La condition principale pour réussir c'est de tout changer dans ce pays, économie, Etat, habitudes, mentalités, comportements, pour fonder une économie viable", a martelé M. Papandréou sous les applaudissements de tous les députés de son groupe."
La forme ultra révolutionnaire ne rassurera pas sur le fond de la situation ou le gouvernement met son peuple pour satisfaire aux exigences de la BCE du FMI , de Fa# et de Merkel.
Les silences de la CES et son soutien sans faille aux travailleurs de Grèce sont assourdissants. Peut-être que la CGT (au moins elle dans le panel de ses adhérents) pourrait demander plus de solidarité active avec nos camarades ? C'est vrais qu'Athènes du 21ème siècle n'est pas Varsovie du 20ème. Et que pour tous les socio-démocrates de Bruxelles, ce qui compte c'est d'abord sauver leur soldat Papandréou et l'économie libérale, sinon, à quoi aurait-il servi d'inventer la CES ?
Oh! U.E. Comme tu es d'un beau bleu! C'est pour mieux t'étrangler mon
enfant.
pour ceux qui pense que la canaille voit des méchants partout :
"Le directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn, estime, dans un entretien à paraître mercredi dans La Tribune, que si le FMI et l'Union européenne n'aident pas les Grecs,"ils vont être dans une situation insoutenable". "Il faut que les Grecs aient présent à l'esprit que le redressement de leurs comptes publics, après plusieurs années de dérapages inconsidérés, va être pénible et difficile, prévient M. Strauss-Kahn. Mais il n'y a pas d'autre solution pour en sortir". Le patron du FMI s'explique également sur les critiques qui accompagnent les initiatives du Fonds en Grèce : "La solidarité internationale repose sur l'idée que chacun des membres de la 'coopérative' fait les efforts nécessaires, à la demande des autres. Dans les pays où l'opinion publique est plus consciente de cela, les programmes du FMI se déroulent bien, et ils sont plus efficaces."
Mais les patrons des banques et les ploutocrates mangent tout les soirs à la même table celle des maitres où ils invites chefs d'états ou dirigeants du FMI et de la BCE